Belle-sœur de l'Empereur - 3
Datte: 10/09/2022,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
alliance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
confession,
historique,
historiqu,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... par exemple…
— Et en plus cru ?
— Dans le cru gentil, nous avons, par exemple : ma belle cochonne…
— Humm… peut-être pour pas tout de suite.
Il se penche sur sa femme qui a toujours les yeux bandés :
— Redites-le-moi, ma mie.
— Vous êtes un homme impossible, Ludwig !
— Je suis un homme empereur, Lugdiwina !
Elle soupire abondamment avant de dire, avec une pointe de défi dans la voix :
— Oui, j’aime votre braquemart sur moi, coquin de Ludwig !
— Ah ! Quelle plaisante affirmation !
Puis à ma grande surprise, il se penche sur Lugdiwina afin de l’embrasser. Au sursaut qui fait trembler ma voisine, je devine sans souci qu’elle ne s’attendait pas du tout à cette marque d’affection ! De son côté, son mari promène sa verge sur son ventre, puis remonte sur ses seins afin de s’y frotter copieusement. Ce faisant, il laisse quelques fines traces luisantes sur la peau blanche. Je vois bien que Ludwig fait de son mieux pour se contrôler. D’ailleurs, quelques secondes plus tard, il préfère reculer, la verge toujours en l’air, mais sans contact avec l’épiderme de son épouse.
Il contemple le corps alangui, puis se tournant vers moi, il me scrute de haut en bas. Il se relève complètement, passant à côté de moi, sans oublier au passage de frotter sa verge contre mes seins. Ludwig apprend vite ! Soudain, il ordonne :
— Mettez-vous toutes les deux à quatre pattes, l’une à côté de l’autre !
— Toutes les deux ?
— Oui, j’ai bien dit toutes les deux.
Lugdiwina se ...
... redresse tant bien que mal. Son mari dit alors :
— Ma mie, ôtez donc le foulard qui vous aveugle. Ce sera plus pratique pour vous.
— Merci… je le pense aussi.
Nous obéissons toutes les deux. Une fois en position, nos séants rondouillets bien en évidence, Ludwig s’exclame :
— Ah que voici deux beaux postérieurs ! Remuez-les un peu !
Amusée, je m’exécute. Par contre, ma voisine tergiverse. Soudain, elle pousse un petit cri de surprise, son mari venant de lui claquer faiblement les fesses :
— N’ai-je pas dit : remuez vos séants ?
— Euh si, mais…
— Un sujet obéissant obéit toujours à son Empereur !
Alors, elle aussi, elle remue un peu du popotin. Son mari s’exclame :
— Ah quel beau spectacle, assurément !
Nous devons gigoter ainsi nos blanches fesses, tandis que ses mains nous caressent, nous palpent, nous tapotent, puis Ludwig s’enhardit à venir frotter sa verge contre nos chairs frémissantes. Je sens que nous allons bientôt franchir une nouvelle étape.
Juste à côté de moi, Lugdiwina me demande en catimini :
— Vous croyez qu’il va…
— J’ai comme l’impression que oui… Les hommes sont souvent ainsi, offrez-leur un doigt et ils vous prennent la main, et d’autres prennent directement le bras.
— Oui, mais quand même ! Et vous ?
— Oh moi… Ça me fera un peu d’exercice… ça me rappellera des choses avec mon regretté Karl.
L’instant d’après, comme je m’en doutais un peu, c’est moi qui ai les honneurs de la verge impériale qui coulisse sans effort dans ma ...