1. Belle-sœur de l'Empereur - 3


    Datte: 10/09/2022, Catégories: fh, ff, ffh, alliance, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, intermast, Oral 69, pénétratio, confession, historique, historiqu, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... fut une grande première pour lui. Lui aussi semble se souvenir de cet épisode, si j’en crois son regard perdu au lointain.
    
    Je tourne la tête vers l’Impératrice, je devine vite que Lugdiwina est un peu perdue, alors je recentre la conversation sur elle :
    
    — Et si nous nous focalisions sur Lugdiwina ? N’est-elle pas le sujet de notre présence à tous les trois ici ?
    
    Mon beau-frère répond :
    
    — Vous avez raison, comme toujours.
    — Votre femme est très voluptueuse, il faut savoir goûter à ses appas, la choyer, la câliner, car elle est une femme rare, dotée d’une beauté fort charnelle.
    
    À cette évocation, elle proteste :
    
    — Que dites-vous là ? Vous exagérez !
    — Non, Lugdiwina, bien des hommes aimeraient vous désirer et vous faire subir mille caresses.
    
    Elle n’a pas le temps d’ouvrir la bouche, son empereur de mari s’étonnant à sa place :
    
    — Comme ça ? Bien des hommes ?
    — Regardez bien votre épouse, Ludwig, et dites-moi franchement quelle femme voyez-vous ?
    — Je vois… je ne suis pas doué pour ce genre de choses.
    — Un petit effort, je vous prie…
    — Je vois en effet une femme appétissante, il est vrai.
    — C’est le bon mot : appétissante. Lugdiwina a de belles formes, de belles courbes sur lesquelles on a envie de s’attarder, des paysages composés de tours et retours qu’on aime explorer. N’est-il pas ?
    
    Tandis que Lugdiwina rougit un peu, son mari hoche la tête :
    
    — Décidément, Wilhelmine, en plus des hommes, vous êtes aussi douée pour savoir parler des ...
    ... femmes !
    — Je commence à savoir ce qui plaît aux hommes chez une femme. Néanmoins, je vous l’accorde, les goûts et les couleurs peuvent varier, mais bien des hommes aiment la chair voluptueuse et se vautrer dedans.
    — Je vous crois sur parole… Ainsi mon épouse aurait des appas alléchants aux yeux d’autres hommes ?
    
    Lugdiwina proteste :
    
    — Ludwig, voyons !
    — Qu’y a-t-il de mal à s’enquérir si sa femme plaît à d’autres ?
    
    Assez gênée, Lugdiwina se tait. J’en profite pour répondre :
    
    — Il n’y a pas de mal… C’est même valorisant, n’est-ce pas, Ludwig ?
    — Je reconnais que… disons que ça fait quelque chose…
    — Surtout plus bas, n’est-ce pas ?
    — Oui… plus bas.
    
    Il est indéniable que la conversation excite mon souverain, le chapiteau qui pointe le démontre aisément. Néanmoins, je me demande où tout ceci nous mènera, car avec un homme qui essaye de se libérer, mais pétri de contradictions, une femme assez timide et dépassée par les événements et moi qui ne suis certainement plus une oie blanche, ça risque soit d’être détonant, soit d’être une mèche mouillée !
    
    — Et comment croyez-vous que ces autres hommes approcheraient ma femme ?
    — Je suppose que vous parlez de l’instant présent, au lit ?
    — Exactement…
    
    Amusant que ce soit Ludwig qui relance le sujet. Il n’est pas pour rien le grand frère de mon Karl adoré, même s’il a beaucoup de retard en la matière. Je me lance dans une grande description imagée, plongeant dans mon propre vécu et ajoutant aussi des idées à tester, ...
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