Belle-sœur de l'Empereur - 3
Datte: 10/09/2022,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
alliance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
confession,
historique,
historiqu,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... Majesté ?
— Laissez tomber ce titre et appelez-moi Ludwig comme vous savez déjà si bien le faire.
Toujours dans l’attente de la suite des événements, Lugdiwina me regarde avec un air interrogateur. Se tournant vers elle, son mari lui explique à sa façon :
— Wilhelmine ici présente nous a plus d’une fois conseillés, aussi bien vous et moi. Et sa nature spontanée lui fait souvent oublier le protocole, surtout quand elle se lance dans des explications un peu intimes.
— Ah… oui… c’est vrai…
— Comme vous savez aussi, Wilhelmine est une grande experte confirmée des champs de bataille en chambre.
Je proteste :
— Vous exagérez, Votre… euh… Ludwig.
— Vous avez eu un bon professeur, chère belle-sœur. Que diriez-vous si ces divers conseils restaient en famille ?
Un léger sourire aux lèvres, je ne réponds rien. Il s’installe posément à côté de sa femme qui tremble un peu. Il me désigne le bout du lit :
— Posez-vous donc là. J’attends à présent vos conseils.
— Comme ça ? Directement ?
— Oui, comme ça, directement. Ce sera plus simple. Et si nous faisons une erreur, vous serez à même de la rectifier.
— C’est une façon de voir…
Obéissante, je m’assieds aux pieds de mes souverains, le matelas est très confortable. Après un bref silence, je demande :
— Ludwig, je ne comprends pas bien où vous voulez en venir…
— Ce qu’il y a de bien avec vous, Wilhelmine, c’est que vous ne vous dissimulez pas, contrairement à bien des personnes de mon entourage. Alors, que me ...
... conseillez-vous pour commencer cette première leçon ?
Accoudée sur le rebord en fer forgé du lit, je soupire :
— Je vois que vous pouvez être aussi joueur que mon mari. Vous n’êtes pas frères pour rien. Ce qui m’étonne dans tout ceci, ce n’est pas ce que vous proposez, mais que vous le proposiez maintenant.
— Peut-être avez-vous réussi à ouvrir la serrure d’une lourde porte… Et puis, je vous ai bien observée : il y a ce que vous êtes en public, et ce que vous êtes en privé. C’est alors que je me suis rappelé que mon regretté frère faisait souvent de même. Alors je me suis dit : pourquoi pas moi ?
Je hausse les sourcils, puis je rétorque :
— C’est une explication qui peut se tenir. Mais entre nous, Ludwig, vous auriez pu le faire largement avant !
— C’est comme franchir un fossé. On peut hésiter longtemps avant de sauter. Et puis…
— Et puis ?
Me contemplant délibérément de l’entrejambe aux seins, son regard devenu brûlant, Ludwig se penche lentement sur moi :
— Et puis, mon frère mort à ma place, je me suis posé des questions auxquelles mes deux confesseurs n’ont pas su répondre, sauf par des poncifs vides. Et puis vous êtes arrivée ensuite, et j’ai eu comme une révélation.
Je tente de plaisanter :
— Comme Sainte Thérèse d’Avila, vous avez vécu une transverbération ?
— Vous ne croyez pas si bien dire, Wilhelmine. Ce fut… extatique !
Je veux bien le croire ! J’avais déployé toute ma science en matière de privautés, il s’était complètement vidé ! Ce ...