1. Fruits mûrs 1 Jeannine aime la pine


    Datte: 05/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Langauchat, Source: Hds

    ... dévoilait la lionne perverse qui somnolait derrière la dame réservée.
    
    - Je vois que vous êtes bien plus connaisseuse que vous ne voudriez le laisser paraître.
    
    Elle haussa les épaules avec une certaine coquetterie.
    
    - A mon âge, ce serait grave qui je n’avais pas vu quelques sexes d’homme se répandre pour moi…Cette poitrine en a fait tout de même dresser quelques uns.
    
    - A commencer par celui qui est en face de vous…
    
    - Petit flatteur…mais vous savez, ce sont de vieux souvenirs. Je ne voudrais pas d’un amant régulier, qui s’attache à moi.
    
    - C’est bien compréhensible. Mais que diriez vous de quelques caresses qui vous feraient du bien, sans que cela puisse porter à la moindre conséquence.
    
    - Je vous jure que non.
    
    - Ah, parce que cet homme qui me procurerait ces caresses, ce serait vous?
    
    Plus tard, je la raccompagnais dans sa chambre. Nous ne nous étions pas touchés.
    
    - D’accord pour un petit moment…mais juste des caresses.
    
    - Selon vos souhaits.
    
    Jeannine ouvrit la porte de sa chambre. Je la suivis, tout palpitant. Je regardais le déhanchement de ses hanches généreuses. Je m’imaginais en train de parler ses fesses mûres et toujours pleines. J’imaginais sa fente, blottie dans des poils roux, ou peut-être grisonnants.
    
    Elle ferma les stores, enleva ses bottines, et se coucha sur le lit, toute habillée. Je m’approchai. Le silence était pesant. Je voyais la grosse poitrine de Jeannine qui gonflait son chemisier. Emu, je commençai de caresser ses ...
    ... jambes en remontant le long de ses bas.
    
    - Je vous laisse faire. Vous m’avez parlé de caresses. J’attends.
    
    - Il me faudrait faciliter certains accès.
    
    Ma voix brisait le silence peine. Je craignais un refus.
    
    Lorsque j’avançai sous la jupe de Jeannine, elle remonta le bassin, m’encourageant à faire glisser sa culotte.
    
    Ma main rencontra la peau de ses cuisses un peu grasses, et tira sur une culotte en satin que je déposai au pieu du lit. La septuagénaire écarta imperceptiblement les jambes, n’osant pas franchement les ouvrir pour m’inviter à la lécher. Elle devait trouver que cela faisait trop chienne. Et pourtant, c’est ce qu’elle voulait.
    
    A plat ventre, j’écartais encore un peu ses jambes, et passa un premier coup de langue sur sa vulve. Dans la pénombre, je n’atteignis d’abord que des poils. Je m’avançai à nouveau, la pointe de la langue à la recherche du clitoris. Dès qu’elle l’atteignit, la vieille dame plantureuse se cambra comme sous l’effet d’une secousse électrique.
    
    Je la sentais très sensible du clitoris. Craignant d’irriter le bouton de Jeannine, j’entrepris de lécher plus bas, avec des coups de langues souples.
    
    Au début, la dame de réagit pas. Je me demandais si mes léchages n’étaient pas inefficaces, lorsque Jeannine se mit à trembler imperceptiblement.
    
    - C’est bien comme ça? Demandai-je comme une petite pute mal assurée.
    
    Pour toute réponse, Jeannine porta une main autoritaire sur son clitoris pour le branler.
    
    - Lèche.
    
    C’était succinct ...
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