1. Fruits mûrs 1 Jeannine aime la pine


    Datte: 05/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Langauchat, Source: Hds

    ... je savoure votre présence. Je serais ravi de continuer cette conversation avec vous, mais sur la terrasse. Il fait beau, et nous serions bien mieux dehors. Permettez-moi de vous offrir un verre.
    
    - vous êtes galant, jeune homme, dit Janine, en décroisant et recousant les jambes. On pensera: -voilà un garçon qui est très gentil avec sa maman.
    
    Elle passa une main dans son abondante chevelure rousse, une chevelure de lionne, de séductrice, qui contrastait avec son maintien sévère.
    
    - Savez-vous que je n’ai eu de relations intimes qu’avec des femmes plus âgées que moi?
    
    Nous nous étions levés.
    
    - Plus âgées…de combien ? Dix ans?
    
    - jusqu’à 25 ans!
    
    Elle s’arrêta, comme si une laisse invisible l’avait immobilisée
    
    - Vingt cinq ans, répéta-t-elle, lentement, sans expression. Eh bien, eh bien…ajouta-t-elle, stupéfaite. Vous êtes un phénomène.
    
    - Pas tant que cela. Si vous me permettez d’évoquer ce sujet un peu scabreux, sachez que, comme tous les hommes, je ne vais pas sur internet que pour consulter les archives des paroisses protestantes. Tous les sites de photos érotiques proposent de larges
    
    galleries consacrées aux femmes mûres.
    
    Nous avions pris place sur la terrasses. Jeanine restait songeuse. Elle avait perdu son maintien d’institutrice contrariée et soupçonneuse. « Cet homme a eu des relations intimes répétées, et sans doute intenses, avec des femmes de mon âge, voire plus âgées. Ce plaisir qui les a fait vibrer, je le sens parfois couver dans les ...
    ... tréfonds de ma chatte, il se réveille en grésillant autour de mon clitoris. Je suis une dame sérieuse et digne, mais dans ma culotte, une bouche verticale dans son manchon de fourrure s’ouvre parfois pour crier famine. J’aime diriger le jet de ma douche sur mon bouton…même si je ne m’y attarde pas comme une collégienne. » Ces réflexions, sous une forme vague, en-deça du langage, faisaient irruption dans son esprit. Une curiosité pour le sexe, l’envie de se sentir encore vivante dans ce domaine, remontèrent à sa conscience comme une lourde bulle à la surface d’un étang, ou plutôt comme une lave sexuelle, répandue à travers des strates géologiques soudain friables.
    
    Jeannine n’avait-elle pas eu quelques amants, comme son époux le soupçonnait?
    
    Je pouvais bien m’imaginer que, sous le glacis des bonnes manières, cette dame aux seins généreux et doux comme des melons se les était fait presser dans la salle de bains d’un hôtel comme celui-ci. Nue devant la glace, penchée en avant, son amant n’avait pas eu la patience d’attendre dans la chambre. Il s’était plaqué, nu lui aussi, le sexe arqué, contre la douce rotondité des fesses de Jeannine. Ces fesses contredisaient les manières de la dame. Elles étaient chaudes, douces, opulentes. La chasteté de Jeannine avait cédé comme une membrane qu’on déchire, en cette heure furtive de plaisir interdit. La fente cachée sous la chair des fesses s’était brusquement ouverte sous la poussée du membre de l’homme. Un enfoncement d’une seconde sur ...
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