1. Fruits mûrs 1 Jeannine aime la pine


    Datte: 05/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Langauchat, Source: Hds

    Lorsqu’elle entra dans le hall de l’hôtel, je n’eus aucune peine à la reconnaître. J’avais encore de la peine à comprendre comment cette chance m’était tombée dessus: avoir pour mission de dévergonder une femme mûre au caractère bien trempé, selon les voeux de son mari.
    
    Je ne pensais pas qu’on pouvait désirer être cocu, au point de sacrifier une partie de ses vacances, en donnant pour mission à un inconnu d’accompagner sa femme.
    
    Il m’incombait d’expliquer à Jeannine - c’était le nom de cette rousse fière et un peu sèche de prime abord - que son mari avait du partir d’urgence, à l’appel d’un ami qui se trouvait dans la plus grande détresse.
    
    Le couple avait décidé de se séparer quelques heures pendant leurs vacances, l’un s’adonnant à son sport préféré, l’autre faisant les boutiques. Lorsque Jeanine reviendrait à l’hôtel, j’aurais pour mission de lui expliquer l’absence de son mari. Je devais être assez malin pour entrer en contact avec elle.
    
    J’avais bien appris ma leçon, et tranquillisait tant bien que mal la jolie dame mûre, qui était passée de la colère à l’exaspération, puis à l’étonnement, et répétait en boucle les mêmes réflexions perplexes.
    
    Nous discutions depuis vingt minutes, assis face à face dans les canapés profonds du hall de l’hôtel.
    
    - Il est allé retrouvé une petite grue de ses connaissances. Son histoire ne tient pas debout.
    
    Devant l’expression concentrée, sérieuse de la dame, qui semblait avoir amassé de lourds nuages de colère et de souci ...
    ... autour de son opulente chevelure rousse, je tentai de lui dire quelques douceurs avec la plus grande prudence. La vision de Jeanine soudain affalée dans le canapé profond m’effleura l’esprit. Je me vis face à elle, lui relevant les jambes. Je la voyais presque couchée, mais le menton rabattu sur la poitrine, dans une position rendue inconfortable par le dossier du canapé. Je m’imaginais en train de goûter du bout du gland la texture de ses muqueuses vaginales. Je pouvais me représenter la sensation de mon gland, posé à l’entrée de la vulve sèche de la dame à moitié scandalisée, mais dans le sexe se mettait à baver contre la volonté de sa propriétaire, à force d’être sollicité par les assauts répétés, doux mais fermes de ma queue. Sous les feux de son regard, je me délectais par des avancées progressives et laborieuses de la douceur du vagin de Jeanine.
    
    - Ne vous inquiétez pas, Madame. Votre mari s’est sans doute absenté pour de vraies raisons. Je n’imagine pas qu’on puisse avoir la moindre envie de tromper une femme telle que vous. Ne doutez pas un instant de votre pouvoir de séduction. Il est très puissant.
    
    - Que pouvez-vous dire de mon pouvoir de séduction? A votre âge…vous ne pouvez vous mettre à la place de mon mari. Vous êtes bien gentil de me parler ainsi, mais ce ne sont que des mots, des formules. Vous ne pouvez pas ressentir envers moi quoi que ce soit qui relève du domaine de la séduction.
    
    - Alors là, Madame, je vous arrête…je vous jure qu’en cet instant, ...
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