Fruits mûrs 1 Jeannine aime la pine
Datte: 05/09/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Langauchat, Source: Hds
... matin, si vous me croisez dans l’hôtel.
- Certainement pas. Je vais lire tout cela, cela va m’occuper.
Seul dans la chambre, je téléphonai comme convenu au mari de Jeannine. Il était ravi de la tournure des évènement. Je lui disais que sa femme était en train de pencher son front sévère sur mes textes cochons. J’imaginais que, à quelques mètres de là, ses prunelles parcouraient ces lignes dégoulinantes de sperme et de vice que j’avais étalées dans plusieurs site. A cette idée, je caressai ma tige bien raide. Le mari de Jeannine imaginait sa femme au lit, les sourcils un peu écarquillés, ayant mis ses lunettes pour lire au lit, tout en ayant involontairement relevé les draps pour se masturber.
Le lendemain, j’entrai vers la salle du petit-déjeuner en même temps que Jeannine. Elle m’invita à sa table, ce que je trouvai d’excellent augure.
Face à moi, elle me fixait d’un regard brillant.
- Eh ben alors…
Elle pensait à ce qu’elle avait lu. On aurait dit qu’elle voulait faire planer un doute, prendre une hauteur indignée devant ce flot de textes qui n’évoquent à chaque ligne que des succions, des sexes coulissants l’un dans l’autre, de la moule très âgée, de la jeune bite, des dames et un jeune homme qui, contre toute attente, au lieu de simplement converser poliment, se bouffent la rondelle voracement, tête-bêche, dans des lumières tamisées.
- C’est troublant de voir autant de désir pour des femmes…de mon âge, avoua Jeannine, songeuse. J’avoue que je ne suis ...
... pas une sainte, mais j’aurais de la peine à vivre des scènes aussi crues, à me sentir ravalée au rang d’objet sexuel.
- Il ne faut pas voir les choses ainsi. Pour ma part, je suis prêt à mon tour à servir, comme un objet, au plaisir de la dame. J’étais même très excité lorsqu’elles pouvaient m’utiliser pour le plaisir, je les poussais à le faire.
- Je comprends, mais c’est tout de même dégradant.
- De la part de certains hommes, peut-être, mais dans mon cas, j’étais capable de passer deux heures bien salaces avec une femme, et lorsque nous nous étions rhabillés, de refermer ce chapitre pour parler de tout autre chose, pour échanger des idées, pour nous promener.
Voilà pourquoi les maris de ces dames ne soupçonnaient rien. Ils voyaient bien que j’entretenais une véritable entende avec leurs épouse…avec des parenthèses torrides. Ce que nos langues faisaient, elles ne le dévoilaient pas. Rien n’était plus stimulant pour moi que de recevoir du plaisir de la bouche d’une jolie dame très digne, en cheveux blancs, au côté de laquelle je pouvais converser en société, bien droit sur mon fauteuil, sans que personne ne puisse soupçonner que, sous le tailleur impeccable de la dame, se cachaient une poitrine qui m’avait procuré les plus vives sensations quelques heures avant. Vous voyez ce que je veux dire…
- Vous voulez dire que des vieilles dames vous faisaient des branlettes espagnoles? lança Jeannine en me regardant droit dans les yeux.
J’étais estomaqué. Jeannine me ...