1. Fruits mûrs 1 Jeannine aime la pine


    Datte: 05/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Langauchat, Source: Hds

    ... comme réponse, mais clair. Je léchai.
    
    Je ne savais pas dans quelle proportion l’humidité de la vulve de la vieille dame venait de sa mouille, ou de ma salive. Pour m’en assurer, je raidis ma langue pour l’enfoncer comme une petite bite dans son vagin.
    
    D’une main, sans arrêter de se branler, Jeannine me repoussa doucement, m’encourageant à lécher régulièrement.
    
    C’est ce que je fis, sagement, consciencieusement.
    
    Je voulus lui lécher la rondelle, mais Jeanine m’arrêta d’un « non, pas là… »
    
    Je remontais vers la vulve.Je léchais la jolie grand-mère qui se masturbait les yeux fermés, ravie de se faire déguster les lèvres et l’entrée du vagin.
    
    Elle se mit à jouir, presque silencieusement, en laissant échapper des « ho…..ho… »brefs et rauques. Son bassin continuait d’onduler, alors je léchais toujours. D’ailleurs, sa main baguée agaçait toujours les pourtours de son clitoris. Les « ho …ho »..revinrent une deuxième, puis une troisième fois. J’avais la bouche pleine de mouille, la mouille d’une vieille salope.
    
    Je me relevai, et sortit ma queue.
    
    - Non, je ne veux pas, murmura Jeannine, encore sur son petit nuage.
    
    - Juste pour me caresser, vous m’avez tellement excité.
    
    - Alors d’accord…caresse-toi, fais-toi jouir.
    
    C’était du gâchis. J’aurais adoré fourrer Jeannine.
    
    - J’aimerais voir vos seins.
    
    - Tu veux les voir? Répéta-t-elle, comme si elle avait envie de se faire prier.
    
    Elle se déboutonna. Je sortis deux globes laiteux, adorablement ...
    ... ronds. Elle ne quittait pas ma bite des yeux.
    
    L’éruption furieuse de mes couilles sur ses seins lui arracha un sourire. Après avoir découillé, je ne savais pas trop quoi faire. Jeannine ne voulait manifestement pas m’embrasser. Elle avait vu une grosse bite encore jeune juter sur ses gros melons de salope. C’était tout.
    
    Elle me congédia, et me raccompagna jusqu’à sa porte, à moitié dépoitraillée, après avoir essuyé le sperme sur ses seins.
    
    J’eus droit à un petit baiser tout sec et claquant sur le bout des lèvres. Avant de partir, je lui lançai:
    
    - N’hésitez pas à frapper à ma porte si vous avez besoin de compagnie.
    
    Elle me répondit d’un hochement de tête qui voulait dire « n’y compte pas trop! »
    
    Pourtant, quelle ne fut pas ma surprise, vers la fin de l’après-midi, de recevoir un coup de fil dans ma chambre. C’était Jeanine.
    
    Elle dit simplement:
    
    - Tu peux venir si tu veux.
    
    En trois bonds, j’étais derrière sa porte. En entrant, je la devinai plus que je ne la vis dans la pénombre. Elle m’attendait sur son lit, les jambes à l’air, un peu écartées. Elle avait gardé un petit chemisier, qui n’était fermé que de quelques boutons. Ses gros seins débordaient.
    
    Je pensais qu’elle voulait de nouveau se faire laper la chatte, et me mis immédiatement à plat ventre pour lui déguster la fente.
    
    Après quelques coups de langue, elle me repoussa, et désignant son pubis, me demanda:
    
    - tu veux?
    
    Pour toute réponse, je me mis à poil, et dirigeai mon sexe vers sa ...
«12...567...10»