Elodie à la salle de Sport (et pas Martine) - Histoires de Sexe

Elodie à la salle de Sport (et pas Martine)

... démesurée.

— Ah la belle petite salope, cela se lit tellement sur vous.

Le formateur enfonça sa queue encore dressée au plus profond de ma gorge et m’attrapa les cheveux pour se glisser au plus profond de moi. J’en perdis mon souffle et mon excitation était à son comble. Je lui rendis sa queue toute propre et encore dressée. Dieu qu’elle était belle.

C’est alors qu’on frappa à la porte. Heureusement personne ne l’ouvrit.

Le formateur se retourna et s’éloigna vite fait de moi tout en remettant son beau sexe dans son petit short.

Je m’assis par terre, tournai son visage à l’opposé de la porte, attrapai ma serviette à proximité et mélangeai le sperme chaud sur mon visage avec ma transpiration et essuyant le sperme sur mon tee-shirt.

On frappa une seconde fois et la porte s’ouvrit sur Jade qui parlait avec un jeune homme volontaire qui voulait tester à son tour l’équipement.

Je me défis des deux dernières bandes au niveau des jambes tandis que le prof buvait un verre d’eau au distributeur.

Une fois libérée de tous ces équipements qui m’entravaient, je me levai et voulus partir dans un coin de la salle.

Mais Jade vint vers moi. Je sentais l’odeur du sperme chaud dans l’air et avait peur qu’elle le sente aussi. Mes joues étaient cramoisies et elle me toisa encore de haut en bas.

Jade me présenta ...

... au client qui s’avança pour m’embrasser ne sachant pas qui j’étais et pouvant penser que j’étais un coach.

Je le laissai faire, tremblante à l’idée qu’il sente cette odeur sur moi et devine ce que je venais de vivre. En m’embrassant, il posa ses lèvres sur un mélange de transpiration et de sperme. Mes jambes frêles avaient du mal à me porter et Jade me toisa à nouveau de haut en bas d’un regard interrogatif. Je devais cette fois-ci être blanche comme un linge.

Elle présenta le client au formateur, déviant leur attention de moi, me permettant de me cacher dans un coin de la salle pour les laisser rentrer tranquille, avant de disparaître sans bruit.

C’est ce que je faisais de mieux dans ma petite vie. Disparaître ! Me cacher ! Et c’est avec tout mon talent et des années de pratique que je filai récupérer mes affaires, avec la complicité de mon empreinte digitale. Le temps d’enfiler mon grand pull salvateur, je m’enfuis sans me doucher, très loin de cette salle. Sans bien sûr croiser le regard de personne, yeux baissés, pull tiré sur mes fesses pour cacher monthigh gap.

J’avais laissé un faux numéro de téléphone et m’imaginai Jade en train d’essayer de me contacter. J’évite depuis le quartier de la salle de sport. Et quand je vois des publicités pour des appareils d’électrostimulation, je me surprends à sourire.