Elodie à la salle de Sport (et pas Martine) - Histoires de Sexe

Elodie à la salle de Sport (et pas Martine)

... plié dans le casier ma jupe et mon pull, comme mon ex petite amie l’aurait fait. En se retournant, Jade avait pris une seconde de respiration pour me regarder de haut en bas, visiblement surprise de découvrir ce corps que je cachais tant.

— Ouahou, tu es super mignonne, Elodie

J’avoue que je cachais bien mon corps sous des vêtements trop larges et en me glissant dans la vie d’une fille quelconque jamais maquillée et mal coiffée. Jade n’avait, elle aussi, rien vu de moi et semblait me découvrir. Quand je me regarde nue chez moi dans mes miroirs, je vois une petite blonde au corps mince de danseuse de ballet. Je savais que mes joues roses et mon attitude penaude me rendaient fort belle. De plus une étincelle fugace venait de s’allumer dans mon regard et je rayonnai en un instant.

— Oui, tu es très belle, dis donc.

Jade déglutit et reprit son mode moulin à paroles, mais elle ne pouvait faire comme si de rien n’était. Elle m’accompagna jusqu’à une des deux salles de coaching me laissant passer devant pour regarder une fois de plus ce petit corps si désirable aux formes si féminines.

Dans la salle se trouvaient une grande brune ultra sexy et un homme torse nu particulièrement bien fait… Il tenait son tee-shirt à la main et, compte tenu de sa transpiration, venait visiblement de faire une séance d’électrostimulation. Tous deux me regardèrent de bas en haut, s’attardant sur monthigh gap, mes joues rouges et mes petits tétons qui pointaient. Nous étions quatre à être ...

... troublés et l’air s’électrifia en quelques secondes.

La grande brune ultra sexy à forte poitrine se présenta comme étant la coach. Anita était d’origine brésilienne. Elle avait un petit accent très exotique. L’homme était le formateur venu leur apprendre l’équipement et les mouvements.

Anita me présenta rapidement le matériel tout droit sorti d’un film de science-fiction :

— Un gilet composé de cinq paires d’électrodes (abdominaux, pectoraux, lombaires, dorsaux, trapèzes).
— Une bande avec une paire d’électrodes pour les fessiers.
— Deux bandes pour les jambes (quadriceps, ischio-jambier).
— Une bande pour les bras (biceps, triceps).

La belle Anita commença à m’équiper et sangla le gilet avec l’inexpérience des débutantes. Ils éliminèrent la bande pour les fessiers compte tenu de mon petit cul. Idem pour mes bras frêles. Mais ils optèrent pour les bandes pour les jambes ce qui n’avait pas trop de sens selon moi. L’homme vint au secours d’Anita pour la corriger. Chaque contact des deux coachs avec mon corps ou effleurement non intentionnés me perturbèrent un peu plus. Je n’avais pas d’autre choix que de les laisser faire. Et tout ce matériel sur moi me fit penser à une séance de sado masochisme. J’étais en train de me faire attacher de partout. Le BDSM n’est absolument pas mon truc, je n’aime ni la contrainte ni le mal imposé aux femmes pour le plaisir des mecs. Cela m’écœure.

Anita s’accroupit pour fixer des sangles au niveau des cuisses. Elle m’offrit une ...