Elodie à la salle de Sport (et pas Martine)
Datte: 31/08/2022,
Catégories:
h,
fh,
inconnu,
grossexe,
gymnastiqu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
init,
confession,
Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe
... vue parfaite sur son fessier brésilien bombé et rebondi. L’homme bandait sous son petit short et bougeait tout le temps pour essayer de masquer son état. Le regard des trois présents sur moi était terrible. Je pouvais lire leurs envies et leurs désirs. Je sentis les mains d’Anita à l’intérieur de mes cuisses pour fixer une bande et une boule de feu envahir mon bas-ventre.
Une fois totalement équipée de ma tenue lunaire, Anita interrompit mes rêveries. Elle me connecta à la borne et je sentis un picotement envahir tout mon corps… des sensations très particulières… de plus en plus intenses et fortes.
Les vingt minutes furent un petit supplice avec les décharges électriques reçues et le rythme de mouvements imposés par la coach. Anita était très autoritaire, mais aussi très tactile pour montrer la bonne position. J’étais tous sens en éveil pour ma coach. Sentir les mains d’Anita, appuyer sur ses hanches, mes cuisses, pour rectifier ma posture me troubla énormément. Le regard de Jade et du formateur sur moi m’avait perturbée.
Au bout de vingt minutes intenses, Anita annonça la fin de l’exercice et fila coacher une séance privée de Zumba pour laquelle elle était déjà en retard. Jade fut appelée par un client qui lui signala que pas mal du monde attendait à l’accueil.
Je me retrouvai seule avec le formateur au torse nu qui avait bandé pendant toute la séance sous son petit short. Les filles parties, il ferma la porte de la salle derrière elles et je me sentis plus ...
... fragile que jamais dans mon accoutrement rempli de capteurs, piégée avec lui dans cette pièce.
— On a du temps, aucun client n’est programmé pour la prochaine demi-heure.
Il m’invita à bien m’hydrater et me tendit un verre d’eau.
— J’adore votre regard.
Elodie savait que ses yeux puaient le sexe, on le lui avait dit souvent. En plus en transpirant ses cheveux avaient un aspect mouillé ce qui rehaussait son regard.
— Venez, je vais vous défaire de cet équipement.
Il attrapa le verre vide, le posa à côté, et commença à délicatement à me retirer le gilet. Ses gestes étaient beaucoup plus précis que ceux d’Anita. Pourtant il sembla faire cela comme au ralenti. Mon corps était hypersensible et chaque contact était une petite torture sensuelle.
— C’est moi, les chocs électriques ou la machine ?
Ne sachant quoi répondre, je choisis de ne pas répondre, comme si j’ignorai superbement sa question, histoire de mettre un peu de distance glaciale entre nous.
Il retira enfin le gilet qui semblait peser une tonne. Mon tee-shirt et mon legging étaient trempés de sueur, ce qui était étonnant pour moi qui transpire peu. Après cette séance intense, mon corps était cotonneux, mais mes petits seins fermes avaient les tétons pointés. Mais surtout une folle envie de sexe m’avait envahie. Mon regard de feu ne put cacher mes désirs. Je n’ai jamais su mentir et tout se lisait sur son visage. De plus, encore attachée à cette machine infernale, je me sentais fragile et à sa merci. ...