Elodie à la salle de Sport (et pas Martine) - Histoires de Sexe

Elodie à la salle de Sport (et pas Martine)

... De sa voix chargée d’hormones mâles, il m’avoua :

— Vous me faites un drôle d’effet, je dois dire.

Le formateur bandait ferme et il croisa mon regard sur son bas-ventre. J’étais hypnotisée par son sexe si dur et tendu.

— Vous êtes une très belle petite Princesse.

Je rougis de plus belle. Il caressa sa queue à travers son petit short comme pour m’en dévoiler sa forme.

— Vous êtes désirable, vous ne savez pas à quel point votre charme opère sur moi.

Je buvais tout ce qu’il disait, n’osant croiser son regard, yeux posés sur son sexe.

— Vous voulez la voir ?

J’étais tétanisée et ne savais quoi répondre. Si je disais oui, je consentais. Et je n’avais pas le courage de lui mentir et de lui dire non.

— Regardez comme elle est belle et douce, comme vous.

Joignant le geste à la parole, le formateur sortit de son short sa queue bandée.

— Voyez, je ne vous ai pas menti, petite Princesse.

Il ne mentait pas, en effet, et commença à la caresser avec beaucoup de lenteur

— Vous me faites un effet dingue avec votre regard si chaud.

Je savais que mes yeux puaient le sexe quand j’étais excitée. Et le fait de le savoir décuplait ma gêne. Il commença une masturbation toute en longueur.

— Mettez-vous à genoux, je sais que vous en mourrez d’envie.

Comment avait-il deviné et lu en moi ? C’est mécaniquement que je m’agenouillai sans lui avouer la chance qu’il venait de m’offrir.

— Regardez ma queue de plus près, regardez comme elle est belle.

Il ...

... pouvait en effet être fier de sa queue et du reste de son corps. Le formateur se masturbait de plus en plus rapidement, approchant au plus proche de mon visage. Sa queue était toute dure et musclée comme le reste de son corps.

— Oui, venez plus tout près de moi, Princesse, vous êtes si belle.

Tous ces compliments qui pleuvaient sur moi firent leur effet. Je les pris comme des cadeaux, des diamants, des sacs à main, des chaussures. La respiration du formateur était de plus en plus courte. Je sentais qu’il n’allait pas tarder à éjaculer.

— Vous êtes une belle provocatrice, une belle séductrice.

Je savais que j’étais cette fille au fond de moi, et j’avais toujours essayé de le cacher. J’étais bien trop fière de provoquer ces émotions-là. Je gagnais en confiance, flattée de pouvoir être librement provocatrice et séductrice sans le savoir.

— Mais plus que cela, vous êtes une belle petite salope.

C’était le mot à ne pas prononcer avec moi. Car oui, je suis cette fille-là. C’était la conclusion de mon auto-thérapie : j’étais une belle petite salope. Et en prononçant ce dernier mot, un premier jet de sperme chaud jaillit vers ma poitrine, sur mon tee-shirt. N’y tenant plus, j’essayai d’attraper au vol le jet suivant qui explosa sur son visage.

— Et vous aimez cela, en plus.

Oui, j’aimais cela. Je suis une belle petite salope. Je réussis à avoir sa queue en bouche pour le troisième jet et avalai tout le reste avec l’avidité de celles qui ont une envie de sexe ...