La Reine Léa et le Nain (1) - Histoires de Sexe

La Reine Léa et le Nain (1)

... pensait avoir atteint le fond de la considération qu’il sentit deux doigts forcer l’entrée de ses fesses sans crier garde. Il lâcha une supplique et lutta un peu pour se dégager, mais cette résistance était vaine devant la force de sa partenaire.

— Avoue donc, tu aimes ça...

Il n’aurait pas pu dire une seconde que la sensation était agréable. Les doigts s’enfonçaient entre ses fesses, douloureusement, seules ses dents serrées semblaient pouvoir arrêter une expression réprobatrice.

Lorsqu’elle enfonça le troisième doigt, il crut défaillir, mais à sa grande surprise, les doigts atteignirent sa prostate, même s’il ignorait tout d’avoir un tel organe. Son expression de douleur laissa finalement place à celle d’un relatif plaisir, puis à une lutte ardente contre l’orgasme.

Son esprit était sonné d’avoir du plaisir dans un tel instant. Avec une pratique aussi odieuse. La reine venait de se mettre derrière lui et pressait ses doigts en lui en même temps qu’elle se caressait d’une manière qui lui semblait bien obscure, de sorte que Steiner imagina que de se faire sodomiser par un homme ne soit pas si différent.

Elle continua ses mouvements luxurieux et sembla éprouver beaucoup de plaisir, tant physique que psychologique, à ainsi simuler un pénis avec ses doigts. Un large sourire de contentement se dessina sur sa jolie face, en même temps qu’une satisfaction immense à dépouiller cet homme de toute virilité.

Qu’il était en plus agréable pour elle de le faire se ...

... retenir tellement fort qu’elle pouvait entrevoir le sexe dressé au bord de l’implosion, lorsqu’elle sentait une petite bosse au bout de ses doigts plantés dans son infortuné objet sexuel.

C’est donc dans un plaisir sadique immense qu’elle s’amusa à insister sur cette zone. Elle sentait que le petit nabot pleurait de peur de jouir sans pouvoir se contenir. De peur d’être puni. Voilà donc un délicieux scénario qui lui plaisait d’avance.

Le pauvre homme lutta quelques longues minutes avant que son corps finisse par être plus fort que son esprit. Dans un long râle coupable et pourtant vibrant d’une terrible excitation libérée dans un orgasme puissant.

Il éjacula abondamment dans de longues giclées sur le drap bleu roi. Il sembla un instant échapper à la cruauté de l’instant pour accéder à un monde meilleur. Mais cette petite fugue mentale fut de très courte durée.

Léa donna un violent coup de pied dans le derrière de Steiner qui s’écroula au pied du lit, sur la pierre froide et douloureuse de la chambre.

— Pardon... je vous en supplie... ne me punissez pas....

La reine éclata de rire. Cette situation l’amusait au-delà de ses espérances. Elle le fixa d’un regard noir, bien qu’il cachait en réalité une certaine satisfaction sexuelle qui avait transmuté la haine en simple goût vicieux de voir ainsi un homme si puissant impuissant devant elle.

Elle trempa son doigt dans la semence qui maculait le lit et le porta à ses lèvres. Un petit silence s’installa avant qu’elle ...