La Reine Léa et le Nain (1) - Histoires de Sexe

La Reine Léa et le Nain (1)

... sur la paume d’une nouvelle épée. Presque comme si elle offrait à un jeune adolescent son premier plaisir, elle commença des va-et-vient en le fixant d’un air un peu malsain.

Steiner rougissait autant que son sexe. Le sang durcissait sa masse allongée alors même qu’il se sentait totalement livré à des fantasmes inconnus.

Léa aimait son nouveau jouet. Elle ne lui offrirait sans doute pas le plaisir de sa bouche... pas encore ?... Mais elle comptait bien en profiter pleinement.

De la même manière qu’elle aurait volé dans la cuisine un légume aux proportions phalliques intéressantes, elle tira son amant malgré lui sous elle et sans le préparer d’une quelconque manière, elle enfonça son sexe en elle.

Ses fesses écrasaient à moitié le semi-homme qui gémit sans s’en empêcher, tant de surprise que de plaisir. Le sexe de cette belle jeune fille s’ouvrait à sa verge et il savourait le fait qu’elle soit si chaude et humide. Il en avait tant rêvé et voilà qu’après la souffrance venait une sorte de récompense.

Mais bien mal lui en prit de croire qu’il pourrait profiter pleinement de ses mouvements : Léa le tenait sous son poids et elle seule profitait de son sexe pour se pénétrer à la vitesse qu’elle désirait. C’est-à-dire : vite. Profondément. Intensément.

La frustration qui bouillonnait en elle s’estompait à chaque fois qu’elle sentait la pointe du pénis de Steiner caresser le fond de son vagin. Elle pressa ses fesses contre lui, afin de chercher les petits ...

... centimètres manquant pour qu’elle se sente pleinement comblée. Cela lui arracha un petit gémissement qu’il regretta presque.

— Je t’interdis de jouir avant moi. dit-elle entre deux soupirs, reprenant un temps sa voix directrice implacable.

— Je... oui... répondit-il, souffletant pour contenir le plaisir qui montait en lui contre son gré.

Les mouvements de bassins se faisaient de plus en plus ambitieux. Steiner serra les dents. Il aurait aimé serrer les hanches de sa tyrannique partenaire pour s’enfoncer en elle à sa manière, afin de gagner les quelques niveaux de plaisirs nécessaires pour s’abandonner. Mais il craignait que cette impudence soit sévèrement punie.

Léa savourait son plaisir sans penser à autre chose. De temps à autre au gré des vagues de jouissance qui menaçaient le rivage de ses cuisses, elle saisissait la gorge de son amant pour serrer tant est plus qu’il quémandait d’un regard l’abrègement de tels traitements.

Elle sentit naître l’idée dans son esprit de jouer encore plus sournoisement avec sa petite victime. C’est ainsi que sans demander réellement son avis, elle le mit à quatre pattes, comme l’aurait été sans doute une femme dans d’autres circonstances, dévoilant une jolie paire de fesses.

La souveraine asséna immédiatement deux belles paires de fessées qui arrachèrent un cri à Steiner. Non seulement la position était humiliante, mais sa femme n’y allait nullement avec le dos de la cuillère. Ni du dos de la main d’ailleurs...

C’est alors qu’il ...