1. Tel est pris qui croyait... (sur)prendre.


    Datte: 20/08/2022, Catégories: fh, ff, 2couples, couplus, candaul, Collègues / Travail poilu(e)s, fépilée, vacances, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, Oral pénétratio, couple, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... foutu le nez dedans, ma peur a disparu. C’est une drogue ce cul. Si t’y goûtes, tu peux plus t’en passer, crois-moi !
    — Sur parole je te crois ! Sur parole. Et arrête de te branler en reluquant ma femme !
    — Pardon, Monsieur, mais je fais rien de mal ! Je la touche même pas ta femme !
    — Manquerait plus que ça !
    — Tu permets Germaine ?
    
    Je crus rêver. Était-ce bien ma femme qui demandait la permission à celle d’Alfred ?
    
    — C’est plutôt à ton mari qu’il faut demander son accord, répondit-elle.
    — Amour, tu lui permets ?
    — Non ! Non je permets pas !
    — Ah ! bon ! Pourtant des dizaines de fois, tu m’as dit que t’aimerais me voir avec un autre ?
    — Bah, je me suis trompé. C’était un fantasme. Un fantasme à la con. Rien de plus !
    — Ou alors c’est que t’estimes qu’Alfred n’est pas assez bien pour moi ?
    — Mais non ! C’est pas ça !
    — Donc il est assez bien pour moi.
    — Oui. Non. Et pis merde ! Vous faites chier avec vos jeux à la con !
    — Tu crois vraiment qu’on joue ?
    — Bah oui. Quoi d’autre sinon ?
    — Il ne t’est pas venu l’idée que peut-être j’en avais envie ?
    — De… d’Alfred ?
    — Oui. D’Alfred. Et de Germaine aussi.
    — Je…
    — Je quoi ?
    — Je sais plus quoi dire. Quoi penser.
    — Alors, tais-toi.
    
    Je m’attendais à tout en organisant ces vacances, mais j’étais loin d’imaginer un tel spectacle. Germaine la chevaucha. Placée en soixante-neuf, j’assistai, assis au pied du lit, à une scène que jamais je n’avais imaginée. Nos deux femmes se doigtaient, se léchaient, ...
    ... devant leurs maris, dont un continuait à se branler, et l’autre se retenait de ne pas. Car oui, je luttais.
    
    Vicieuse, Germaine relevait régulièrement la tête, nous dévoilant le sexe de ma femme luisant de salive, avec au sommet un bouton rouge écarlate. Je n’osais même pas imaginer dans quel état était le sien, déjà si énorme avant d’être agacé. Je ne la voyais pas, mais j’imaginais ma Lou aspirer ce gland ainsi qu’elle fait du mien. Cette image de sa bouche, que je visualisais téter un clito tant érigé que je l’assimilais à une petite bite eut raison de moi. Comme Alfred, j’ai empoigné mon sexe.
    
    Germaine, ravie par la caresse que je venais d’amorcer, me sourit. Remplaçant sa langue d’un doigt, elle a roulé, gratouillé même parfois, mais toujours très délicatement, le clito de ma femme sans me quitter du regard. Sans me défier ni me contraindre, elle semblait attendre. Lorsqu’elle baissa le regard et fixa le sexe d’Alfred, j’eus comme un déclic. Ce que je ne comprenais pas la seconde d’avant, je le compris d’un bloc.
    
    Je n’ai rien dit, j’ai juste tourné la tête et fait un signe. Il hésitait, alors, simplement de ma main dans son dos je lui ai certifié mon accord. Il s’est levé et Germaine a pris sa place. J’ai alors assisté, assis à côté de son épouse, à la finalité d’un fantasme qui n’en était plus un.
    
    De voir ce sexe entrer, lentement, jusqu’à la posséder de toute sa longueur m’en coupa le souffle. Il demeura simplement planté en elle, sans bouger. Sans doute ...
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