1. Tel est pris qui croyait... (sur)prendre.


    Datte: 20/08/2022, Catégories: fh, ff, 2couples, couplus, candaul, Collègues / Travail poilu(e)s, fépilée, vacances, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, Oral pénétratio, couple, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... comparer.
    
    Sans me laisser le temps de répondre, Germaine s’installa à côté de ma femme, et toutes deux s’allongèrent.
    
    — Alfred si tu veux mater aussi, pas de soucis.
    
    Il ne se fit pas prier.
    
    — Allez, viens. La vue est…
    — Vous faites chier ! Vraiment chier !
    
    Couché contre mon collègue, elles m’ont laissée un long moment, enfin, de mon point de vue, passer d’un sexe à l’autre.
    
    — Alors ?
    — Difficile à dire. Il fait nuit.
    
    Je disais vrai, mais elle ne prit pas cette vérité pour excuse valable.
    
    — Pas faux. Dans ce cas on rentre.
    
    Durant tout le trajet, j’ai réfléchi à la meilleure réponse que je pourrais donner, sans ni froisser ni décevoir l’une ou l’autre. Évidemment, arrivés à destination je ne savais toujours pas comment me sortir de cette situation.
    
    L’inspection, pardon, la comparaison se fit chez nous. Germaine et ma femme s’allongèrent, et Alfred me convia à le rejoindre. Assis au pied de notre lit, collé à mon collègue, mon regard passa d’un sexe à l’autre.
    
    Glabre, ce que j’avais déjà décelé couvert de poils était encore plus évident. Deux lèvres charnues fermaient, presque hermétiquement, le sexe de Germaine, alors que celui de ma femme laissait entrevoir, d’un rosé prometteur, l’entrée du sien.
    
    — Alors ?… T’as plus d’excuses maintenant. J’attends !
    — Bah… tu me connais. Je préfère sans poils.
    — Voilà, pas compliqué quand même !
    
    Je me croyais tiré d’affaire. Soulagé que cette évidence qu’elle n’était pas sans connaître suffirait, ...
    ... j’allais me lever lorsque résonna ce que je redoutais :
    
    — Et tu préfères laquelle ?
    — Amour ! Tu ne me demandes pas d’élire le plus beau sexe quand même, m’insurgeais-je !
    — Bah si !
    — Mais…
    — Prends ça comme l’élection de Miss France.
    — Ouais, sauf que là, c’est plutôt l’élection de Miss chatte !
    — Allez, merde ! Arrête d’être con ! On est des grandes filles et on sait perdre sans en faire tout un plat !
    
    Tout un plat peut-être pas, mais du peu que je connais les femmes c’est qu’aucune n’aime perdre. Surtout pas quand il s’agit d’un lieu si intime ! Alors j’ai tardé. Trop tardé. Tant que :
    
    — Et toi Alfred, quelle chatte tu préfères ? Celle que tu connais que trop ou la mienne ?
    
    Que trop ! Elle avait dit que trop ! Un trop bien, fort bien, sur le bout des doigts, par cœur, que sais-je encore, aurait été normal. Attendu même, mais que trop !
    
    — Sans hésiter le tien. Pardon, chérie, tu sais que je l’aime plus que tout ton sexe, mais y’a pas photo. T’as les lèvres tellement serrées qu’on dirait qu’elles sont cousues, alors que celles de Lou, c’est comme… une invitation. Et ce rose… putain ! c’est bandant à mort !
    — Tu vois, c’est pas compliqué. Alors… j’attends. Pardon, ON ATTEND !
    — Bah… tout est dit, Mamour.
    — Ouais. Tu crois quand même pas t’en tirer aussi facilement.
    — Bah… c’est vrai que comme ça y’a pas photo.
    — OK… et comme ça ?
    
    Je n’en crus pas mes yeux. Après avoir intimé à Germaine de l’imiter, j’avais devant moi deux sexes largement mis à ...
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