Une collègue a besoin de réconfort (1)
Datte: 10/08/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory
... main et me demanda ce que je faisais...
— Je vérifie une dernière chose...
— Mais Chouchou... Dit-elle dans une fausse protestation... En fait, si sa main disait non, du fait qu’on était collègues et qu’elle était mariée, qu’elle avait ses gosses ; elle n’était pas opposée à la situation. Elle était très en colère contre son mari, elle voulait se défouler, se venger... Et puis, elle n’avait pas fait l’amour depuis plusieurs mois. Toutes mes caresses l’avaient perturbée.
Je l’allongeais sur le canapé. Comme elle ne protestait plus, ma main poursuivit son parcours. Tâtant la fente de sa chatte à travers la petite culotte de coton, je sentis qu’elle était trempée... Elle mouillait... Elle avait donc envie... Je me sentais assuré... Maintenant, je savais qu’elle voulait...
Je la regardais, triomphant. Je lui ai demandé de m’aider à me déshabiller. Une fois que j’étais nu, elle laissa tomber ses fausses réticences et je pus finir de la déshabiller.
L’une de mes mains restait sur ses seins, l’autre s’occupait de son mont de Vénus, deux doigts entrant et sortant à un rythme de plus en plus rapide.
Elle commençait à me caresser les fesses. Elle se lâchait de plus en plus... S’abandonnait... « Chouchou... Chouchou... Ah lalala... Qu’est-ce qu’on fait ?... Ah lalala... »
J’arrêtais mes doigts. Puis, entamait un cunni. Je la léchais avec passion, intensément... Je voulais que ma langue aille au fond et la fasse crier de plaisir... Depuis le temps que je fantasmais ...
... sur elle...
Célia caressait mes cheveux en écartant les cuisses au maximum, m’invitant à continuer. A un moment, je fis mine de relever la tête, elle appuya de ses mains pour garder ma tête entre ses cuisses... La vache... Elle voulait vraiment jouir...
Après quelques secondes, je relevais quand même la tête. « Chouchou ? » dit-elle inquiète... « Tu t’arrêtes ? ». Je souriais : « Et moi alors ? ». Elle porta ses mains à sa bouche. Sa vraie nature revenait à la charge : « pardon Chouchou... pardon... ». Au bureau, elle s’inquiétait pour tout le monde, voulait que tout le monde soit bien, heureux.
— Je suis impardonnable mon Chouchou ....
Elle s’assit face à moi et prit mon sexe en main pour me branler. « Pardon mon Chouchou, je t’avais presque oubliée... Mon pauvre... Tu dois être dans un état... ». Puis, elle pressa une main sur mon torse pour m’inviter à m’allonger. Agenouillée sur le canapé entre mes cuisses, elle descendit sa tête et ses lèvres vinrent effleurer mon gland.
— A ton tour Chouchou : tu as mérité.
Et elle commença une fellation comme je n’en avais jamais eu. Elle mit toute sa douceur dans ses baisers et ses va-et-vient quand elle me prenait en bouche. Sa langue était agile. C’était génial.
Je retenais ses cheveux pour qu’elle puisse avoir les mains libres. Elle descendit du canapé pour s’agenouiller au sol et me pomper vigoureusement dans une position plus confortable pour elle. Du coup, j’avais sa chatte à portée de main. Je recommençais à ...