1. Une collègue a besoin de réconfort (1)


    Datte: 10/08/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory

    Quelques années après avoir eu ma relation avec Aélis, je changeais de boîte. J’avais quitté la petite structure de 6 salariés pour arriver dans une boîte de 30 à 40 personnes, filiale d’une grosse société. J’avais 31 ans.
    
    Le premier jour, j’arrivais en même temps qu’une fille de 33 ans. Elle avait des cheveux blonds et ondulés qui tombaient sur ses épaules, des yeux verts très clairs et des pommettes saillantes. Quand je l’ai vue, je me suis dit qu’elle était très belle. Et, sur le moment, elle m’a fait repenser à Aélis.
    
    J’essayais de me convaincre que ce n’était pas pareil. Elles avaient la même couleur de cheveux et d’yeux, mais c’était tout. Pour le reste, elles étaient bien différentes. Aélis, bien que très fine, dégageait une énergie sexuelle dingue. Son regard intense disait : « j’aime le sexe : fais-moi l’amour ».
    
    Célia, elle, avait un visage doux et tendre. Dégageant un charme fou, qui pourrait faire tomber amoureux sur un seul regard. Autre différence : sa corpulence. Célia était un peu plus en chair, surtout au niveau de ses hanches, fesses et cuisses, mais ça faisait partie de son charme. Les hommes se retournaient derrière elle. Ses seins étaient aussi plus gros que ceux d’Aélis. Ce premier jour, je commençais à me faire des films.
    
    On ne connaissait personne. Du coup, à midi, nous étions allés déjeuner ensemble, entre nouveaux. Célia me dit : « on va déjeuner en tête à tête ? »
    
    J’ai dit oui instantanément, j’étais très content, c’était trop beau. ...
    ... M’enfin, ma joie fut de courte durée. Au cours du déjeuner, elle m’apprit qu’elle était mariée, qu’elle avait deux enfants, un de 7 et l’autre 3 ans. Quand elle parlait de sa vie de famille, elle était très heureuse, son visage exprimait la joie et le bonheur.
    
    Moi, j’étais triste. J’avais commencé à me dire qu’on pourrait avoir une relation, et la voilà casée depuis 10 ans... Mais ma tristesse se dissipa vite. Sa joie était communicante. A la fin de la conversation, j’étais heureux pour elle.
    
    Il se passa 5 ans. J’avais eu quelques aventures, mais qui n’ont pas débouché sur une relation sérieuse, ce que déplorait Célia. J’avais à ce moment 36 ans et Célia 38.
    
    Au cours de ces 5 années, je travaillais régulièrement avec Célia en binôme. Notre arrivée le premier jour nous avait fait tisser des liens dès le début. Nous nous entendions bien et nous nous comprenions.
    
    Nous avions les mêmes méthodes de travail. Lorsque l’un de nous était bloqué, l’autre l’aidait : nous nous complétions. Par moments, je me disais que j’aurais aimé la rencontrer avant son mari : qu’est-ce que ça aurait donné ?
    
    Les collègues masculins savaient qu’elle ne tromperait jamais son mari, mais ils étaient jaloux de ne pas passer autant de temps que moi avec elle.
    
    Un samedi par mois, la moitié du personnel masculin (ceux qui avaient entre 25 et 40 ans : les autres allaient en week-end en famille) se faisait un déjeuner dans un petit resto : c’était devenu une tradition.
    
    Presque à chaque fois, ...
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