1. Une collègue a besoin de réconfort (1)


    Datte: 10/08/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory

    ... Avant, il passait un week-end de temps en temps avec ses potes, mais l’un d’eux m’a dit qu’on le voyait moins ces derniers temps... J’avais des doutes...
    
    Un jour, je suis rentrée à midi parce que je savais qu’il était en congé... Et puis bon... tu sais, ça faisait un moment qu’on n’avait pas fait l’amour... Comme je te disais, au moins six mois... ça fait beaucoup pour un couple marié de notre âge... Donc je pensais que ce serait l’occasion...
    
    Bref, et là... J’arrive à la chambre, j’ouvre la porte... (elle mime la scène). Et je vois quoi ? Une petite pute le chevauche comme une dingue... Et le pire c’est que ce petit con aimait ça... Je suis ressorti vite fait en refermant la porte... (elle mime à nouveau). Je suis retournée au boulot... Depuis ce jour-là, il me dégoute..."
    
    J’étais un peu triste pour elle. Je repris mes caresses. Elle se laissait faire. Je couvrais son visage de baisers.
    
    — Merci Chouchou, ça me fait du bien un peu de réconfort, tu ne peux pas savoir... Quel petit con alors....
    
    Je lui répondis que son petit con de mari ne savait pas ce qu’il perdait. Elle sourit : « ah oui ! C’est clair ! Je suis pas moche quand même ! ».
    
    Elle était agenouillée sur le canapé, jambes pliées en dessous de ses cuisses, reposant les fesses sur les talons. Je caressais ses cuisses : « mais non Célia, tu es belle, magnifique... Tes cuisses sont superbes... ». Elle me remercia en souriant.
    
    Mes mains remontaient vers ses fesses, que je pris à pleines mains pour ...
    ... les pétrir. « Tes fesses sont divines... ». Elle mit ses deux mains sur ses joues, pour cacher son rougissement : « tu vas me faire rougir Chouchou ».
    
    Mes mains caressaient ses hanches et remontaient vers ses seins. Elle me prit alors les mains dans les siennes : « Chouchou... ». Je pris à mon tour ses mains, les posant sur mes épaules : « je veux juste te convaincre que tu es belle Célia... Si je ne touche pas, tu ne me croiras pas ».
    
    Elle me laissa poursuivre. Je soupesais ses seins entre mes mains, et les caressais tendrement.
    
    Puis, couvrant son visage de mes mains : « Oui, je te confirme : tes seins sont superbes ! Validation du jury ! ».
    
    Elle souriait, elle était radieuse : "Merci ! Merci Chouchou... Ah lalala, ça me fait du bien... Je me sentais tellement moche et conne ces derniers temps...
    
    — Mais non Célia, c’est ton mari qui est con... Toi, tu es une femme magnifique...
    
    Je poursuivis mes caresses et, petit à petit, déboutonnait son chemisier blanc. J’avais un accès sur sa superbe poitrine. « Oh le con ! Mais quel con ton mari ! Une poitrine comme la tienne, on ne l’abandonne pas, on la gâte... ». Je la caressais, embrassais sa poitrine, elle enleva d’elle-même son chemisier et son sous-tif. Encouragé, je suçais ses tétons pendant qu’elle me caressait les cheveux.
    
    Mes mains redescendaient vers ses fesses, je déboutonnais son pantalon en toile pour pouvoir la caresser à travers la culotte. Ma main s’approchait de sa chatte quand elle m’attrapa la ...
«12...456...10»