Une collègue a besoin de réconfort (1)
Datte: 10/08/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory
... j’avais le droit aux jalousies de mes collègues : « Tu as de la chance petit salaud : tu traînes avec la plus jolie fille de la boîte ». « Oui ! Célia est tellement bonne ! » « Putain, je kifferais de me la faire ». « Son mari est un putain de chanceux ».
Et encore, heureusement pour moi, ils ne savaient pas qu’entre nous, lorsque nous ne travaillions qu’à deux, Célia me surnommait affectueusement « chouchou ». C’est le seul secret que nous partagions. Notre complicité, elle, s’étalait au grand jour : d’où les jalousies.
Chaque fois après ce resto, mes abrutis de collègues me donnaient envie de faire l’amour à Célia. Je leur en voulais un peu, parce que je me disais que ce n’était pas possible.
Mais cette fois-là, je changeais l’ambiance en annonçant à mes potes de bureau que j’allais déménager. Je quittais mon logement pour une petite maison toute mignonne et pour laquelle j’avais eu un coup de cœur pour un prix qui m’était accessible.
Le groupe fut unanime : « fais une crémaillère ! On fait un barbecue ». « On fait venir tout le monde ». Puis, le plus âgé du groupe, ‘Adrien’, interrompit les doléances : « Je suis d’accord : barbecue, on fait venir tous les collègues ».
Puis, il me regarda droit dans les yeux, avec un regard brillant... « Imagine... Si les filles du bureau ne viennent pas... On fait venir des strip-teaseuses ? ».
Tout le groupe éclata de rire et applaudit. Puis Adrien reprit : « bon évidemment, je rigole... Je sais bien que nos collègues ...
... féminines vont venir et qu’il n’y aura pas de strip-tease... En plus, ma femme me défoncerait... ».
Puis, Adrien me regarda en se frottant la barbe : « par contre, je pense que Vincent ne serait pas contre que Célia lui fasse un strip-tease... ». Et voilà, c’était reparti...
De retour au boulot le lundi suivant, j’invitais mes collègues dans ma nouvelle maison. La plupart étaient enchantés. Mais Célia, elle, hésita. En fait, ça faisait plusieurs semaines ou même quelques mois qu’elle me semblait un peu ailleurs. Elle était préoccupée, peu attentive.
On ne passait jamais de temps ensemble en dehors du bureau, mais en la voyant triste, j’insistais : « Viens, il y aura tout le monde, je ne sais pas ce que tu as, mais je suis sûr que ça va te changer les idées ». Elle hocha la tête, pensive. Elle me dit qu’elle était désolée, qu’elle était effectivement préoccupée.
Elle me remercia de m’inquiéter pour elle et me promit de réfléchir. « Merci, mon Chouchou, je te répondrais vite ». Elle me dit cela dans un petit sourire attendri, elle avait un style « petite maman ». Quand elle me regardait, j’avais l’impression qu’elle me couvait de son regard. Comme pour m’apporter douceur et protection.
En fin de journée, une collègue « Colette » qui avait à peu près 45 ans, petite, un peu ronde, vint me voir. « C’est bon Vincent, elle va venir Célia. Je l’ai convaincue ». Elle m’annonça son triomphe avec un sourire en banane, elle était fière d’elle. Je la remerciais.
Puis, elle ...