1. Une collègue a besoin de réconfort (1)


    Datte: 10/08/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory

    ... introduire mes doigts. Elle mouillait sans discontinuer.
    
    Elle se releva. Je me levais à mon tour pour la recoucher sur le canapé. J’écartais ses cuisses et m’installais face à son mont de Vénus. Elle sourit. Ma tête s’approchait de la sienne. Je l’embrassais et guidais mon sexe vers l’entrée de sa petite chatte trempée.
    
    Célia comprit mon intention. Sa main se posa sous mon nombril, comme pour m’arrêter. « Vincent... non... ».
    
    J’étais déçu.
    
    Elle s’asseyait face à moi. « Pardon mon Chouchou... ». Je repris mes caresses. Je l’embrassais à pleine bouche. Mes doigts reprirent le chemin de sa fente chaude et humide. Je m’asseyais confortablement sur le canapé et la tenais par la taille pour l’inviter à venir au-dessus de moi. Elle se laissa guider...
    
    Elle reprit : « oh lalala... Qu’est-ce que je fais ?... Putain, mais tes doigts c’est bon... Oh lalala... J’ai pas fait l’amour depuis lon-on-ongtemps... Si je m’écoutais... On baiserait comme des lapins... ». La voir comme ça, excitée, et me donner du vocabulaire un peu familier pour son tempérament me stimulaient énormément. Elle était tellement différente !
    
    La voilà assise sur mes cuisses, à califourchon. J’étais toujours en train de la doigter doucement, de peur qu’elle ne veuille pas continuer. Je la voyais savourer le moment. Elle commençait à ronronner.
    
    Ma main libre l’attrapa sous les fesses pour la soulever légèrement. Elle se laissait guider. Je l’attirais vers ma bite tendue qui voulait son compte. Elle ...
    ... mit une de ses mains devant sa bouche. Mais comme elle ne protestait pas, je continuais mon manège.
    
    Elle était accroupie au-dessus de moi. J’avais toujours les deux doigts dans sa petite chatte. De l’autre main, je rapprochais son bassin de mon pieu tendu. Elle gardait une main devant sa bouche, comme pour cacher ce qu’elle disait. Mais j’entendais très bien ses murmures : « oh lalala... mais qu’est-ce que je suis en train de faire ?... ».
    
    Son autre main vint se poser et s’appuyer sur mon torse, comme pour garder l’équilibre. Tout en la doigtant tout doucement, je pris mon pieu pour le mettre face à son objectif. Célia était assez proche pour que mon gland effleure les grandes lèvres de son entrejambes.
    
    — Merde... Merde... Qu’est-ce que je suis en train de faire ?... dit-elle.
    
    Moi (intérieurement) je me disais : tu vas me chevaucher... Exactement comme la maîtresse de ton mari l’a fait quand tu l’as surpris.
    
    Je retirais un doigt puis prépositionnais mon gland pour qu’il entre à la place, mais juste à l’entrée, effleurant ses grandes lèvres. Je n’osais pas aller plus loin.
    
    Je sortais mon deuxième doigt. D’une main, je maintenais mon membre en position, de l’autre, je commençais à exercer une légère pression sur le bas du dos de ma cavalière pour l’inviter à descendre. Elle le fit lentement, tout en douceur. C’est son tempérament naturel...
    
    Je regardais mon pieu entrer dans ma blondinette de collègue millimètre par millimètre. Elle s’arrêta quand la moitié ...
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