1. Une collègue a besoin de réconfort (1)


    Datte: 10/08/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory

    ... :
    
    — Et... peut-être que ça se terminera en tête à queue....
    
    Il explosa de rire, me fit signe de la main pour me dire au revoir et partit.
    
    Je rentrais et trouvais Célia dans son chemisier blanc et son pantalon en toile noire, assise sur le bord du canapé, pensive, légèrement penchée en avant avec ses mains sur ses genoux, comme si elle s’apprêtait à se lever. Mais elle restait assise.
    
    Je vins m’assoir près d’elle, elle tourna la tête vers moi : « Adrien est parti ? Il faut que je parte... ». Je posais ma main sur son bras, elle me regarda dans les yeux. Elle était très triste.
    
    Alors, prenant mon courage à deux mains, je lui demandais : « ça ne va pas Célia ? ». Ses yeux devinrent rouges, les larmes commençaient à couler de ses yeux. Elle se retenait, mais les sanglots étaient trop forts.
    
    — Célia ? Qu’est-ce que....
    
    Elle éclata en pleurs en tombant sur mon torse, m’enlaçant, cherchant du réconfort : « Vincent, Vincent... C’est horrible, horrible... Si tu savais... ». Elle pleurait à chaudes larmes contre moi... J’étais embarrassé, que faire ?
    
    Je la gardais dans mes bras, la cajolant, lui caressant les cheveux, les bras, et le dos pour la consoler. Les pleurs ne s’arrêtaient pas. Alors je la repoussais légèrement, pour que son visage soit face au mien, ce qui la calma.
    
    Je l’interrogeais. Etait-ce le boulot ? Non... La famille ? Elle hochait la tête pour signifier peut-être. J’eus un frisson d’inquiétude. Les enfants ? Non... Ouf... Son mari ?
    
    Les ...
    ... larmes revinrent, elle explosa à nouveau en sanglots, retombant dans mes bras... Je la cajolais à nouveau lui demandant ce qu’elle avait.
    
    Après quelques secondes où elle avait pleuré à chaudes larmes, elle se redressa un peu. N’osant affronter mon regard, ses yeux fixaient le sol et ses doigts tenaient le bord de ses lèvres, comme si elle n’osait pas dire ce qui lui traversait l’esprit. Elle lâcha finalement : « quel salaud... ».
    
    J’étais un peu choqué... Célia ne parlait jamais comme ça. C’était très étrange de l’entendre parler avec ce vocabulaire. Elle me fixa droit dans les yeux dans un regard rempli de douceur : « désolé mon chouchou... Mais vraiment... Quel salaud ! Ah oui ! ». J’allais ouvrir la bouche, mais elle continua : « tu te rends compte ? Ce p’tit con m’a trompée ! Tu m’entends Vincent ? Trompée ! Et avec une p’tite conne en plus ! Merde alors ! ».
    
    Et elle éclata à nouveau en sanglots, retombant dans mes bras. Je repris mes caresses. Mes mains la parcouraient partout, je commençais à m’attarder sur ses cuisses et ses fesses. « Tu es très belle Célia ».
    
    Elle se calma, sourit, et me regarda dans les yeux : « merci mon Chouchou... Je sais que tu es sincère... Ah lalala... ». Puis elle posa une main sur sa joue et l’autre sur son cou.
    
    — Chouchou... Je suis cocue... Tu te rends compte ? Cocue... Ça fait des mois que ça dure...
    
    — Tu l’as su quand ?" lui demandais-je.
    
    "Depuis deux mois... ça fait plus de six mois qu’il traîne au bureau le soir... ...
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