Au coeur de la Grande-Forêt
Datte: 22/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
2couples,
fhhh,
frousses,
rousseurs,
poilu(e)s,
forêt,
amour,
noculotte,
Oral
pénétratio,
init,
conte,
pastiche,
délire,
Humour
fantastiqu,
merveilleu,
sorcelleri,
merveille,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... Croissance Perturbée, ronchonna Gufti.
S’il existait une chose qui les horripilait tous, c’était bien de se faire traiter denains, de jardin ou autre. Ça les foutait en rogne. Aussi lorsque les trois idiots se gaussèrent d’eux, ils virent rouge.
— Hé, Fernande, c’est ça tes chevaliers servants ? Je me marre !
— Aidez-moi, mes amis, implora Fernande.
Les sept nains exerçaient la profession de mineur, de rudes et musculeux personnages habitués à manier pioches, masses et pelles pour extraire des pierres précieuses. Petits, mais costauds.
Aussi, à la grande surprise des hommes, les sept amis lancèrent leur cri de guerre et se ruèrent à l’attaque.
— Tous pour un, tous pour une Chatte !
Aussitôt des masses et marteaux volèrent, frappèrent fronts, ventres et autres pendeloques.
Gufti avait prestement enroulé la ficelle de la chevillette autour du membre du déculotté et tandis que le Claude lui enfonçait la bobinette dansLa fleur du Mâle.
Le chef tirait sur la cordelette comme un damné en répétant :
— Alors, elle va cherrer la bistouquette ?
Radag flanquait de grands coups de poing sur la tête de ce sale type.
Asym et Ptote sautaient à pieds joints sur le ventre du second, en répétant après chaque saut :
— Dis coucou au lac, dis coucou.
Soméone et Dupon s’occupaient du troisième en lui distribuant de grands coups de pieds dans les côtes ou lesjoyeuses, qui ne l’étaient plus.
En moins de deux minutes, les P.P.T.A.E.U.C.P⁽²⁾ se rendirent ...
... maîtres de la situation, les malfaisants ligotés, bâillonnés, saucissonnés et enfermés dans l’enclos des cochons.
Fernande, toujours allongée sur la table, se remettait lentement de ses émotions.
— Sans vous je ne sais pas ce que je serais devenue, ni surtout ma petite Amandine.
Les sept amis tentaient de la rassurer en lui parlant, lui donnant à boire et en la caressant, de façon de plus en plus douce et précise.
— Dites donc, bande de chenapans, vous êtes sûrs que c’est ce qu’il faut faire pour rasséréner une femme.
— Mais oui, Fernande, t’inquiète pas, on gère ; répondit Gufti en plongeant le nez dans la toison auburn.
Radag et Le Claude lui amignonnaient les tétons tandis que les autres glissaient leurs petits doigts un peu partout.
— Oh oui, gémit la belle rousse, vous savez rassurer les femmes.
~oOo~
Les deux jeunes filles se serraient l’une contre l’autre, terrorisées. Les deux hommes paradaient devant ces beautés nues qui tremblaient devant eux.
— Ahah, vous pouvez trembler, si vous saviez ce qui vous attend au palais, vous seriez encore plus inquiètes.
— Ouais, reprit Édouard, not’ reine va vous écorcher vives, vous rôtir le cœur et vous l’fair’ bouffer tandis que les clébards s’régal’ront d’vos tripes… Où qui sont, d’ailleurs, ces putains de chiens.
Mais les deux beautés tremblantes ne regardaient pas les chasseurs, elles fixaient quelque chose derrière eux.
— Grrrrrrr.
Le grognement très profond et grave fit trembler jusqu’aux ...