1. La rosière


    Datte: 02/07/2022, Catégories: h, fh, extracon, inconnu, religion, uniforme, jardin, voyage, train, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation intermast, Oral pénétratio, Humour initiat, Auteur: Charlie67, Source: Revebebe

    ... d’attendre. Elle décida donc de mentir éhontément.
    
    — Je constate, mon pauvre Michel que nous sommes dans la même situation… ! dit-elle en baissant la tête et en faisant tous les efforts possibles pour qu’une larme arrive à ses yeux.
    — Comment ? Le colonel veut vous marier de force ? Je n’aurais jamais cru cela de lui.
    — Non, pas mon père, ma mère… !
    — Ooooh, vous aussi, répondit-il avec un gros soupir.
    — Eh oui, soupira la donzelle qui après bien des difficultés, réussit à faire couler une larme sur sa joue.
    
    Ce que voyant le jeune homme, le fit réagir promptement. La pucelle se trouva soulevée et enserrée par des bras puissants.
    
    — Vous pleurez, ma mie, je ne saurais le tolérer, laissez-moi une journée et je vous enlève, je déserte l’armée, nous fuyons à…
    
    L’officier arrêta sa diatribe quand il sentit la paume de la rosière frapper énergiquement sa poitrine, il desserra son étreinte et la fille put reprendre son souffle.
    
    — Ne me serrez pas si fort, Michel, sinon vous allez être veuf avant même d’être marié.
    — Euh…
    — Et puis, ne vous enflammez pas, gérons les choses calmement.
    — Euh…
    — Venez, asseyons-nous, vous allez m’expliquer comment est votre famille.
    
    La conversation dura une bonne heure au bout de laquelle Caroline renvoya son amoureux qui n’avait pas l’air très décidé.
    
    — Au revoir, Michel.
    — Euh…
    — Oui ?
    — Et bien…
    — Oui ?
    — J’voudraisvousembrasser… ! marmonna-t-il, rougissant.
    — Mais bien sûr.
    
    Elle s’approcha du garçon et comme ...
    ... elle lui rendait une bonne quarantaine de centimètres en taille, elle se mit sur la pointe des pieds et lui tendit ses lèvres. Il l’enlaça, cette fois avec plus de délicatesse. Pendant ce baiser fougueux, elle sentit qu’elle perdait pied… ! Tout simplement et apparemment sans aucun effort, il l’avait soulevée et ses jambes battaient dans le vide.
    
    La jeune fille retourna pensivement à son logis. Le garçon, ce Michel Martin, lui plaisait bien, exactement le personnage qu’il lui fallait. Si elle devait attendre le bon vouloir de sa génitrice, elle resterait pucelle et sous la coupe familiale encore longtemps… ! Il fallait agir.
    
    Le repas du soir fut servi vers les vingt heures et la rosière en profita pour placer ses banderilles. Ni le prélat ni la duègne ne purent répliquer quand elle suggéra une invitation de la famille Martin. Des personnes aussi pieuses et aussi prodigues pour les œuvres diocésaines ne pouvaient qu’être les bienvenues pour le prochain repas dominical. Marie-Caroline ne savait pas encore comment elle allait manœuvrer, mais ne doutait pas d’arriver à ses fins.
    
    Ce repas du dimanche arriva rapidement et tout en étant morne dans l’ambiance, il se révélait d’un très vif intérêt quand on observait les convives. Monsieur Martin père était subjugué par la vision de la belle Vivi et, d’après la main gauche qui traînait continuellement sous la table, on pouvait supposer qu’il en aurait bien fait son dessert. Le fils, vu le regard de convoitise dont il couvait ...
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