1. Julie


    Datte: 30/06/2022, Catégories: fh, hplusag, campagne, Collègues / Travail école, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... en prie, installez-vous sur mon sous-main que j’étudie à fond votre dossier.
    
    Elle obéit, écartant les cuisses en appui sur les coudes, le proviseur se rassied dans son fauteuil et plonge sa tête entre elles.
    
    — Vous allez trouver… Ooohhhh !…
    
    La belle dame poursuit ses onomatopées et ses encouragements jusqu’à ce que soudain ses cuisses se referment sur la tête du proviseur, prises de convulsions. Alors Jérôme se lève, ajuste le vestibule détrempé et s’enfonce en elle d’un puissant coup de reins. Il pilonne en pelotant, suce en masturbant, bascule la belle sur le flanc pour mieux la besogner, évitant soigneusement de laisser monter son orgasme ; ce qui n’est pas le cas de Julie qui explose de nouveau. Après un bref instant d’accalmie, il la fait descendre du bureau et s’y appuyer, bien penchée en avant. Il se rue entre les fesses généreuses avec de grands floc-floc, et commence à les claquer rudement.
    
    — Qu’est-ce que c’est que ça, Madame Berthine ? On conteste les décisions du conseil ? Hein ? On voudrait influencer le proviseur ? Vous n’avez pas honte ?
    
    Julie jouit en permanence comme une folle. Sa cyprine abondante, qui a coulé sur le bord du bureau, glisse maintenant le long de ses cuisses, irisant les bas noirs de longs filets humides. La petite chatte est tellement détrempée que la sensation devient trop ténue pour mener Jérôme à l’orgasme. Il décide donc de changer d’orifice, et sodomise Julie sans prévenir. Elle hoquette et s’écroule à genoux, le sexe de ...
    ... son amant toujours planté dans sa rosette. Il est resté debout, jambes fléchies, et se laisse peser de tout son poids, lui explosant l’anus jusqu’à l’extase.
    
    — Bon, ben, voilà un costard bon pour le pressing…
    — Arrête, c’est moi qui suis bonne pour le pressing.
    — Tu veux prendre une douche ?
    — Oh oui, s’il te plaît.
    — Vas-y, tu connais le chemin.
    
    Julie se recompose une apparence à peu près digne et embrasse longuement son futur mari.
    
    — Allez, je te laisse travailler et je vais retrouver mon fils. Le pauvre, les oreilles ont dû lui sonner.
    — Va vite, mère indigne. Et ne t’égare pas dans les rues fringuée comme ça, sinon je ne te retrouverais jamais, sauf à Pigalle ou à Tanger.
    — C’est ça, traite-moi de pute, tant que tu y es ! N’empêche que ton fantasme est exaucé.
    — Au-delà de mes espérances, merci. À samedi, chérie, vers neuf heures, qu’on en profite un maximum.
    — Comment tu as dit ?
    — À samedi, pourquoi ?
    — Non, après…
    — Chérie ?
    — Ouiiiii ! Ça, c’est mignon. J’aime. Je t’aime. Je t’aime au point de faire la pute, la salope, la traînée, rien que pour toi. Tout, pourvu que je te donne du plaisir. À samedi, mon amour. Je suis folle, folle de toi. Et d’impatience aussi…
    
    Dans la voiture vers la côte :
    
    — Jérôme, est-ce que je peux te dire « tu » ?
    — Je crois que c’est déjà ce que tu es en train de faire, non ? Bien sûr, tu peux, et moi aussi. Mais au lycée, c’est « vous » pour tout le monde.
    — OK. Dis, ça gagne pas très bien un proviseur ?
    — Jamais ...