1. Julie


    Datte: 30/06/2022, Catégories: fh, hplusag, campagne, Collègues / Travail école, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... de trois cent mille, exceptionnelles, mais cinq ou six cent mille c’est tout bonnement inespéré pour l’office de Creusenton.
    
    — Dis-moi, Julie, as-tu besoin de deux témoins ?
    — Non, bien sûr.
    — Puisque tu dis que je plais bien à ta mère, crois-tu qu’elle accepterait d’être mon témoin ?
    — Oh génial, ma mère pour toi, mon père pour moi…
    — Et Pascal sera le photographe officiel du mariage, je vais l’initier au maniement du Nikon.
    — Mais c’est formidable, tout ça. Ça mérite d’être fêté dignement. On ferait bien l’amour sur la terrasse, quand il fera nuit, non ? C’est un fantasme, faire l’amour dehors… Tu en as des fantasmes, toi ?
    — Oui, bien sûr.
    — Cite-m’en un, par exemple ?
    — Euh… je ne sais pas, moi, à brûle-pourpoint, comme ça… Si, tiens, faire l’amour dans mon bureau de proviseur, ça m’a plusieurs fois traversé l’esprit.
    — Ha-ha ! Pas mal. En attendant la nuit sur la terrasse, tu m’as dit qu’on ne voyait rien de l’extérieur dans la véranda ?
    — Constate toi-même : les vitres font comme des miroirs. Mais attention, la nuit c’est l’inverse, si la véranda est éclairée, on voit tout de l’extérieur et rien de l’intérieur.
    — Bon à savoir. Donc on peut y aller, sans allumer…
    
    La véranda est testée et validée. Puis ils vont dîner sur le port à pied, profitant de la relative fraîcheur de la tombée de la nuit. La balustrade de la terrasse s’avère vraiment solide. Julie s’y cramponne pour recevoir les coups de boutoir de son fiancé, puis y pose ses fesses quand il la ...
    ... prend de face. Il n’y a plus qu’une semaine de travail avant de revenir pour les vacances, mais il faut bien rentrer. Ce sera beaucoup plus calme avec la présence de Pascal puis des parents Berthine.
    
    — Oui, Madame Hivégé ?
    — C’est un parent d’élève qui voudrait vous voir…
    — Oh non, pas à cette heure… c’est le cinquième depuis ce matin. Dites-lui de revenir demain.
    — … désolée, mais elle insiste, Monsieur le Proviseur. Elle n’en a pas pour longtemps.
    — Bon, dites-lui de monter et vous pouvez fermer, mettre sous alarme et rentrer chez vous. Je ferai sortir cette personne par-derrière.
    — Merci, Monsieur. Bonne soirée et à demain.
    
    Jérôme repique sur son ordinateur. Quelque chose coince dans l’emploi du temps des premières, les langues comme toujours. Certains font anglais, d’autres espagnol, d’autres encore allemand et même russe pour quelques-uns. Évidemment, ce sont eux qui coincent. On frappe à la porte, « Entrez », et là, surprise !
    
    — Madame Berthine ? Si je m’attendais…
    — Bonsoir, Monsieur le Proviseur. Pardonnez-moi de vous déranger. Je viens vous voir à propos de Pascal, mon fils.
    — Euh… Asseyez-vous. Y a-t-il un problème ?
    
    Après un instant d’hésitation, Jérôme entre dans le jeu. En un flash, il se souvient de leur discussion sur la côte, son fantasme. Julie a visiblement décidé de le réaliser. Elle est vêtue d’un tailleur gris souris qui la moule à merveille, coiffée d’un bibi noir à voilette, les cheveux coiffés en chignon, collants noirs sous la jupe ...
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