1. Julie


    Datte: 30/06/2022, Catégories: fh, hplusag, campagne, Collègues / Travail école, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... courte, chaussures noires à talons, pochette noire. Elle s’assoit, croisant haut les jambes, ses cuisses fuselées se dégagent un peu plus et émettent ce très érotique crissement de nylon.
    
    — Eh bien voilà. Pascal a eu les félicitations du conseil de classe ce trimestre. Et je trouve cela totalement immérité : il ne fait rien, il ne travaille pas. De même pour son passage en première, il en est incapable. Je souhaite qu’il redouble.
    — Comme vous y allez, chère Madame. Ce n’est pas moi qui décide des félicitations, mais un conseil.
    — Que vous présidez.
    — C’est juste. Mais je ne peux pas aller contre la majorité.
    — N’êtes-vous pas le Chef d’Établissement ?
    — Si, bien sûr, mais il serait malvenu que je ne respecte pas la volonté du conseil, dit-il en allant fermer le verrou de la porte du bureau, on ne sait jamais.
    — Oh, Monsieur le Proviseur, s’il vous plaît. Un homme si charmant, vous ne voudriez pas me faire de peine ?
    — Non, bien sûr. Mais vraiment, ce ne sont ni les parents ni le proviseur qui décident.
    — Je vous le demande… Je vous en prie… Je vous implore… Je me jette à vos genoux…
    
    Joignant le geste à la parole, Julie s’agenouille sur l’épaisse moquette et s’attaque à la braguette du proviseur, appuyé à son bureau.
    
    — Madame Berthine… Oh !… Chère Madame… Hum !… Vos arguments… Ah !… Vous le faites bien… Vous ai-je dit… que vous étiez particulièrement chic… et très en… AH !… très en beauté ce soir… Houlala !… Mais que vois-je ? Serait-ce deux pigeons en ...
    ... liberté ?
    — Mmmmmm !… Presque… slurp… presque en liberté. Ils sont tellement gonflés quand je viens vous voir, juste un petit balconnet pour qu’ils se tiennent sages.
    
    Il lui suffit d’ouvrir l’unique gros bouton de sa veste pour que celle-ci vole à deux mètres, découvrant un mignon soutif à balconnets de dentelle noire, soutenant deux obus superbes pointés vers le proviseur.
    
    — Ah, Madame Berthine, voilà un bien bel écrin pour aider ma décision.
    
    Le sexe coincé entre deux seins doux et chauds, les testicules frottant délicieusement sur la dentelle, Jérôme ferme les yeux de plaisir.
    
    — Oh oui, Madame Berthine, je crois que vous avez raison… Votre fils ne mérite pas les félicitations… Juste sa maman… Hummm !…
    — Ahhh ! Enfin ! Et pour le redoublement ?
    — Là je dirais… qu’il faudrait d’autres arguments, bien plus convaincants. Comprenez, la décision est prise, les listes sont faites pour la rentrée.
    
    Alors Julie se relève, dégrafe sa jupe et fait coulisser doucement la fermeture à glissière. Lentement, elle tire sur le tissu, oscillant du bassin, et dégage peu à peu ses hanches, laissant apparaître une nouvelle dentelle, celle d’un porte-jarretelles. Les rubans élastiques s’enfoncent profondément dans la chair tendre de ses fesses. Ce n’est pas un collant, mais des bas dont les sommets apparaissent, en même temps que la toison noire également de son sexe nu. D’une secousse du pied, la petite jupe vole à l’autre bout de la pièce.
    
    — Nom de Zeus, Madame Berthine, je vous ...