Fauna, je suis à toi (4)
Datte: 21/06/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: airdepanache, Source: Xstory
... lécher les mamelles.
— Oh oui…
Le contact de sa langue libéra des décharges électriques délicieuses dans ma poitrine. En une série de bruits humides, elle lapa, suça puis mordit mes seins. Hmmm… C’était génial, ça laissait autour de mes tétons de très coquines empreintes de rouge. Personne ne s’était réellement intéressé à mes seins auparavant, aussi je m’abandonnai à cette attention comme à une merveilleuse aubaine.
Les yeux plissés, presque fermés, j’entendais les splish-splash hypnotiques de la langue de Fauna contre mes pointes toutes dressées.
Quand est-ce que ses mains se mirent à se balader ? Franchement, je n’en avais pas la moindre idée.
Ardente, ma maîtresse passa sa bouche de mes lèvres à ma poitrine en passant par le creux de mon cou. C’était à en perdre la tête… Et pendant qu’elle faisait cela, elle empoigna mon cul à travers le cuir de ma jupe, pour se mettre à le caresser, le malaxer, le remuer de ses mains si habituées à donner du plaisir au corps d’une fille... Oh mon soleil…
Je crois que c’est là que j’ai lâché mon premier gémissement, que je tentai sans succès d’étouffer entre mes lèvres pincées avant qu’il cède la place à un cri de gorge plus sonore encore…
Avec tout ça, je ne pris conscience que mon amie avait entrepris de me débarrasser de ma minijupe que lorsque j’entendis le crissement de la fermeture-éclair. Le minuscule vêtement de cuir chuta à mes chevilles.
J’étais nue. Ou presque. Et Fauna n’allait pas laisser son œuvre ...
... inachevée. Elle vint se lover contre moi, et, en saisissant les élastiques de mon string, elle le fit coulisser très précautionneusement le long de mes jambes, laissant dans son sillage de longues traînées de mouille fraîche et collante.
Lorsque la minuscule culotte trempée fut à mes pieds, Fauna porta la main à mon pubis et recueillit une lampée de ma rosée de fille, dont elle enduisit ses doigts avant de me la faire goûter. Docile, je lapai la potion au goût corsé, vin issu des vendanges de mon excitation.
— Tu vas m’attendre sur ton lit, me dit-elle. Je te veux nue, à quatre pattes, en position de soumission. Je te défends de regarder en arrière tant que je ne t’en donne pas la permission explicite. J’ai quelques préparatifs à faire avant de te rejoindre…
Je léchai mes lèvres pour récupérer les dernières traces de cyprine, puis je hochai la tête et dit, d’une voix de jeune fille sage et bien élevée :
— Oui maîtresse.
Son expression valut tout l’or du monde. Celle-là, elle ne s’y attendait pas, je crois. Que je prenne des initiatives pour devenir la parfaite petite soumise, à en juger par son trouble, cela l’excitait et en même temps l’obligeait à revoir à la hausse l’image qu’elle avait de moi en tant qu’amante, malgré mon inexpérience. J’étais fière d’être parvenue à prononcer ces mots sans flancher ni rougir.
Entraînée par cet élan coquin, j’exécutai sa volonté sans tarder. Obéissante, je rejoignis mon lit - celui où, d’ordinaire, je dormais avec Théo - ...