1. Courir les astres


    Datte: 17/06/2022, Catégories: fh, jeunes, extracon, alliance, grosseins, piscine, fête, pied, hdanus, extraconj, BDSM / Fétichisme Auteur: Lavay, Source: Revebebe

    ... tellement fort.
    
    — Prends-moi ! répète-t-elle.
    
    Je n’obéis toujours pas, je lui prends la main et viens la positionner sur mon sexe. Elle commence à me branler doucement, puis franchement, m’arrachant des ondes de plaisirs se répercutant sans fin dans tout mon corps.
    
    — Prends-moi ! gémit-elle plus fort.
    
    Puis c’est la délivrance, mon vit passe entre ses chairs et se loge dans l’endroit auquel il appartient depuis toujours. Nous profitons un instant de ce moment extatique, je lui suce les tétons, elle chuchote son plaisir, me caressant le dos, serrant ses jambes dans mon dos, attendant la sentence. Puis on s’active tous les deux. Je la baise enfin. Je coulisse dans son corps, elle me répond en élançant son bassin à ma rencontre. Nous sommes parfaitement coordonnés, nous dansons tous deux dans le firmament exalté durant des temps infinis, faisant grimper notre plaisir sur une tour de Babel. Nous montons. Nous montons encore. Nous montons sans cesse. Puis nous arrivons à la porte d’Eden.
    
    — Je vais venir ! halète-t-elle.
    
    Au moment où elle me dit ça, je ...
    ... ressens un tsunami de plaisir, un de ses doigts vient se loger dans mon fondement. Un éclair. Un plaisir fulgurant s’empare de moi alors qu’elle masse la prostate. Je mords l’oreiller et étouffe un hurlement de plaisir. Personne ne m’a jamais fait subir une telle fulguration. Son doigt qui s’agite en moi me tue de plaisir et ma jouissance s’épanouit en elle éternellement pendant qu’elle étouffe la sienne dans mon cou.
    
    On met du temps à séparer nos corps couverts de sueur. On s’embrasse longuement, tendrement. Elle se colle à moi.
    
    — Tu sais que je ne peux pas rester dormir avec toi ?
    — Oui, je sais, répond-elle. C’était magique.
    — C’était incroyable.
    
    Je l’embrasse une dernière fois et repars vers ma chambre. Je me sens bien. Apaisé, confiant et libéré. Bien sûr, je sais que ça ne va durer qu’un temps et, qu’une fois le jour levé, et la vie quotidienne reprise, je devrai affronter ma culpabilité et mon infamie. Mais alors que je me couche contre Ludivine, je sens quelque chose de changé en moi. Je ferme les yeux et avec des étoiles plein la tête, je m’endors. 
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