1. Courir les astres


    Datte: 17/06/2022, Catégories: fh, jeunes, extracon, alliance, grosseins, piscine, fête, pied, hdanus, extraconj, BDSM / Fétichisme Auteur: Lavay, Source: Revebebe

    ... J’obéis à une loi de la nature. Nul n’est censé ignorer la loi et ma bite rentrant dans son antre n’est rien d’autre qu’un phénomène naturel inéluctable comme la foudre ou le séisme.
    
    Je lui dis qu’on part, elle ne dit rien. Les moments qui suivent sont un flottement, on part quasiment sans rien dire à personne. Je ne me souviens plus à qui j’ai dit au revoir. On rentre collés l’un contre l’autre, ma main sur ses fesses, sa tête dans le creux de mon épaule. Le chemin du retour est long et court à la fois. Je sens qu’elle mouille, elle sent que je bande. Pas besoin de se toucher pour ce genre de choses. Les lumières orangées des réverbères nous étourdissent un peu, pas un bruit dehors, personne, pas une âme sauf deux/trois lascars complotant à voix basse.
    
    Une fois dans l’appartement, on n’allume aucune lumière, on ne fait aucun bruit. Je la prends dans mes bras et la porte jusqu’à la chambre d’amis. Le lit est déjà fait. Dans la chambre voisine, Ludivine doit dormir du sommeil du juste. Nous circulons dans la veille des injustes.
    
    Je l’installe et lui retire ses chaussures, me déshabille et m’installe au bout du lit. Je ne la vois plus, il fait noir complet dans la chambre. J’entends juste sa respiration accélérée. Je saisis son pied à pleine main. Celui qui m’a procuré tant de plaisir jusque-là et commence à lui lécher les orteils un par un. C’est si bon, je suis transporté. Ça fait plusieurs années que je n’ai pas léché un pied. Je suce doucement ses orteils, les ...
    ... mordille, profite de leur texture… Je remercie ce pied souverain qui m’a procuré tant de plaisir plut tôt.
    
    — J’aime bien, arrive-t-elle à articuler entre deux piaulements.
    
    Ma langue remonte tout doucement le long de sa jambe, je profite de chaque centimètre carré de sa peau. Elle est fraîchement épilée, sa peau est douce comme de la soie. À mesure que je remonte, mon corps lui devient plus accessible. Ses mains commencent à me caresser les cheveux et le dos de son pied remonte sur mon sexe bandé. Ma tête est au niveau de sa vulve. Je retire sa culotte et la jette de l’autre côté de la pièce. Je m’applique consciencieusement à laper cette source de plaisir. L’ondée que je recueille sur le bout de ma langue est un nectar divin m’emplissant d’un bonheur sans fin. Je reste un millénaire à sucer son clitoris. Peut-être un autre millénaire à siroter ses petites lèvres. Entre ces deux millénaires, mes doigts sont entrés dans son vagin, stimulant son clitoris depuis son intérieur. Elle gémit, doucement, quasiment en silence, nous n’oublions pas que sa sœur est de l’autre côté du mur. Puis ma langue quitte cet endroit acide. Je m’étends sur elle, lui suçant les seins que je libère de sa robe. On est nus, peau contre peau. Chaleur contre chaleur. Je l’embrasse, elle me léchouille les lèvres.
    
    — Prends-moi…
    
    Mon gland vient se positionner contre sa vulve inondée mais je n’obéis pas. Pas encore. Je frotte mon gland de haut en bas, je l’humidifie à l’entièreté de son sexe, je bande ...
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