Courir les astres - Histoires de Sexe

Courir les astres

... remarqué que sa jolie gueule et un corps à attirer le regard masculin. Contrairement à Ludivine, elle a des gros seins qui tendent tous les tissus qu’elle met par-dessus. Je n’ai jamais vraiment été attiré par les gros seins, mais dans cette situation précise, dans cette robe légèrement décolletée, je commence à réaliser tout l’esthétisme qui peut se dégager de cette magnifique gorge. Elle a en plus des pieds à croquer, engoncés dans de jolies chaussures noires ouvertes. Elle a mis un petit vernis vermillon du plus bel effet.

— Tu nous trouves jolies ? me demande Ludivine.
— Oui… réponds-je difficilement, n’osant pas regarder Bertille.
— Bon… On est prête ! m’annonce-t-elle.
— Pas trop tôt ! bougonné-je alors.

C’est ainsi que nous partons tous trois vers la maison de Jérémy. En chemin, je ne peux m’empêcher de jeter de petits coups d’œil latéraux vers la poitrine tressautante de Bertille, et lorsque je passe en arrière du groupe son petit cul recouvert de fleurs et se balançant attire mon regard plus que n’importe quel autre apparat. Finalement, nous arrivons à l’anniversaire. Jérémy nous accueille, le regard vitreux, une bouteille à la main et nous prend aussitôt dans ses bras.

— Bienvenue ! Trop content que vous soyez là ! Entrez !

On part dire bonjour à tout le monde, le bruit de la musique nous entraînant, des amis nous mettant des verres entre les mains. Je suis content de revoir de vieilles têtes et de voir mes meilleurs amis. La fête est à la fois au ...

... rez-de-chaussée et dans le jardin avec plusieurs personnes qui trempent dans la piscine. Je n’ai pas pris mon maillot de bain. Les enceintes crachaient les dernières musiques à la mode et l’ambiance a l’air d’être au beau fixe pour tout le monde.

Je prends part sans délai à une partie de bière-pong, jeu où il faut mettre une balle de tennis de table dans un verre situé devant l’équipe adverse pour la forcer à le boire. Comme je suis un basketteur depuis l’enfance, j’abreuve l’équipe adverse sans difficulté. Après la partie, Idriss et Fabien qui sont tous les deux perdants se dirigent vers moi.

— Hey gros ! Ça va ? demande Fabien, l’air d’être complètement saoul.
— Tranquille ! réponds-je. Comment ça va, les gars, depuis la dernière fois ?
— Rien de bien nouveau… me dit Idriss. À part que… J’ai eu le poste !
— Trop stylé !
— Ouais ! Je commence en novembre ! Du coup, j’ai deux mois de vacances.
— Trop bien ! T’as prévu de faire quoi en attendant ?
— Je pense que je vais en profiter pour m’améliorer à la course.
— T’es vraiment un forcené, toi ! Tu ne peux pas faire comme tout le monde et rester dans le noir chez toi à jouer aux jeux vidéo ? lui demande Fabien.
— Quand t’auras perdu ton pucelage, tu comprendras, Fabien, lui dit Idriss dans un éclat de rire.
— Connard !

Bertille connaît peu de personnes, elle vient alors naturellement vers notre groupe.

— Coucou ! Bertille. Enchantée. Je suis la sœur de Ludivine.

Elle leur fait la bise. Je remarque qu’ils ...