1. Courir les astres


    Datte: 17/06/2022, Catégories: fh, jeunes, extracon, alliance, grosseins, piscine, fête, pied, hdanus, extraconj, BDSM / Fétichisme Auteur: Lavay, Source: Revebebe

    ... le mollet, je le lui caresse sensuellement. Je prends cette chair à pleine main, baisse mon caleçon de ma main libre et replace son pied contre ma hampe nue. Elle lâche un petit soupir de plaisir.
    
    Elle active son pied contre ma bite. De plus en plus vite. De plus en plus vite… Et mon plaisir monte. De plus en plus vite. De plus en plus vite… Puis soudain, j’ai comme une révélation. Ce n’est pas correct. Ludivine… Mon amour de toujours, la femme de ma vie. Je suis un monstre… Je suis en train de lui briser sa vie. Je dois m’arrêter maintenant. Il est déjà trop tard, j’ai commis l’irréparable. Mais il y a une gradation dans la monstruosité.
    
    — Je… Je ne me sens pas très bien. Excuse-moi.
    
    Je retire son pied, me refroque et sors de la piscine. J’ai à peine le temps de repasser mon short par-dessus mon caleçon mouillé et tordu par ma raideur que je suis déjà en train de fuir vers la salle de bain à l’étage.
    
    L’eau m’a fait un bien fou.
    
    Je descends, toujours confus, et tombe sur Bertille et Ludivine qui discutent dans le salon. J’arrive à leur hauteur tout penaud. Ludivine est tellement belle, son visage clair qui égaye mes journées depuis tant d’années est à fondre. Je l’aime. Elle m’accueille avec un grand sourire. Elle ne sait rien.
    
    — Bébé ! Je vais y aller ! Demain, j’ai un gros client qui vient au domaine pour une dégustation.
    — Je vais rentrer avec toi.
    — Non t’en fais pas ! Profite de la soirée ! En plus, il faudrait quelqu’un pour raccompagner Bertille ! ...
    ... Elle veut encore s’amuser ici.
    — Non, mais je vais lui laisser mon trousseau de clés.
    — Le problème c’est que je n’ai presque plus de batterie, je ne m’y retrouverai jamais jusqu’à chez vous sans le GPS.
    — J’avoue que je suis un peu fatigué aussi.
    — Non, mais profite ! Ça fait longtemps que t’es pas sorti avec Idriss et Fabien !
    
    Elle est tellement mignonne, mais elle est en train de refermer un piège sur notre couple sans s’en rendre compte.
    
    — Allez, au revoir ! Je t’aime.
    
    Elle m’embrasse à pleine lèvre, fait une bise à sa sœur et part. Dès qu’elle a franchi la porte, Bertille m’agrippe le bras.
    
    — Je suis un peu jalouse.
    
    J’essaye de rester de marbre. Ne pas faire attention à la douce chaleur qui enveloppe mon bras. À sa poitrine appuyée contre mon triceps.
    
    — Ton copain Idriss a essayé de me draguer tout à l’heure dans la piscine. Je pense que tes potes me trouvent à leur goût.
    
    Je grommelle quelque chose qui ressemble à un « ah ouais ? ».
    
    — T’es jaloux ?
    — Non.
    
    Ce n’est pas un mensonge. En soi, je n’en ai rien à foutre de cette petite conne. Si elle n’avait pas un corps qui m’excitait autant, je ne lui aurais pas accordé un regard.
    
    — Je vais me vexer. T’étais de meilleure humeur quand j’avais mon pied sur ta bite.
    — Parle pas si fort ! m’écrié-je.
    — Amène-moi dans un endroit plus tranquille si tu ne veux pas que je parle de ta bite en public.
    
    Elle me lance un regard de défi. Je la prends par le bras et l’amène dans la cuisine. Il n’y a ...
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