1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 19/08/2018, Catégories: fh, frousses, rousseurs, couplus, voisins, fépilée, campagne, magasin, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, uro, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe

    ... je comprends bien votre petit abricot est tout nu ?
    — Oui, et à part moi, il n’y a que toi qui le sais. Alors pas de bêtises, tu restes sage.
    — Ça va être dur !
    
    La fugue suivante emplissait maintenant tout l’espace de la basilique. L’un comme l’autre étaient pris par la musique et ils se tenaient par la main en écoutant religieusement. Bien que ne pratiquant aucune religion, ils avaient le respect des lieux de culte et ne se seraient pas permis le moindre geste qui fût déplacé. Ce n’était pourtant pas l’envie qui leur en manquait. Ce genre de situation était aussi un de leurs petits jeux habituels. Il ou elle selon l’occasion provoquait l’autre, sachant très bien que rien ne pourrait se faire sur le moment. Cela exacerbait leurs désirs, et lorsqu’enfin ils étaient libres, leurs ébats n’en étaient que plus savoureux. Particulièrement en verve elle se pencha à nouveau vers lui :
    
    — Je parierai bien ma pharmacie contre un timbre à 3Fr que tu bandes comme un cerf, lui chuchota-t-elle dans l’oreille.
    — Je te dois un timbre lui répondit il sur le même ton. Je peux même te dire que si nous étions ailleurs, je serais en train de te violer.
    — Mmh fit elle d’un air gourmand. C’est vrai ? Comme un soudard ?
    — Pire que ça encore.
    — Ne rêve pas trop, il faudra attendre un peu. Et en plus, je crois que je serai plus que consentante. Ce ne serait plus un viol !
    
    Ayant dit cela, elle le regarda avec son air « couvent des oiseaux » comme il l’appelait. À la fois sage, timide, ...
    ... petite fille, mais aussi pour celui qui savait lire dans ses yeux, terriblement perverse.
    
    Le concert se termina dans un tonnerre d’applaudissements, les spectateurs debout rendant un hommage appuyé et bien mérité à l’organiste.
    
    Serrés l’un contre l’autre ils sortaient au milieu de la foule en rangs compacts. Elle devant, lui collé contre ses reins. Mireille se pencha en arrière :
    
    — Dites-moi monsieur, c’est bien votre sexe que je sens dans mes reins ?
    — Oui madame.
    — Et qu’en faites-vous ce soir ?
    — Il est à vos ordres Madame.
    — Nous verrons cela plus tard. En attendant, j’ai faim. Dépêchons nous André m’a fait promettre de ne pas être en retard.
    
    Le petit jeu continuait et Pierre n’en était que plus excité. Dans la voiture, il tenta de l’embrasser et de glisser une main sous la robe. Elle se défendit vigoureusement.
    
    — Plus tard, veux-tu te tenir tranquille !
    — Juste une caresse pour dire un petit bonjour a ton abricot.
    — Non je nous connais, si on commence tu vas me faire l’amour là dans la voiture. Après on sera en retard et André nous fera la gueule. Allez démarre.
    
    Elle avait raison, Pierre en convint. Il retenta quand même un baiser et fut récompensé au-delà de ses espérances. Mais elle lui tenait les mains et il ne put poursuivre son avantage.
    
    « L’auberge de la vallée » était à quelques kilomètres en dehors de la ville. C’était une lourde bâtisse, un peu à l’écart de la nationale, dont le patron était un ancien rugbyman. C’est comme cela que Pierre ...
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