1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 19/08/2018, Catégories: fh, frousses, rousseurs, couplus, voisins, fépilée, campagne, magasin, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, uro, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe

    ... ça. Ou alors ça y ressemble drôlement.
    — Va savoir… lui répondit-elle en souriant.
    — Dis donc à propos de Françoise je me suis souvent demandé si elle et toi….
    — Elle et moi quoi ? demanda-t-elle d’un air innocent.
    — Tu sais très bien ce que je veux dire.
    — Non je ne vois pas dit elle en faisant mine de réfléchir intensément.
    — Tu es vraiment de mauvaise foi.
    — Et toi très indiscret.
    — N’en ai je pas le droit ?
    — Si un peu quelque part. En plus tu es très observateur. Depuis quand t’en doutes-tu ?
    — Longtemps. Quand vous partiez toutes les deux après les matchs.
    — C’est des souvenirs tout ça, nous avons cessé lorsqu’elle s’est mariée.
    — Tu le regrettes ?
    — Un peu parfois. On en a reparlé récemment toutes les deux. Françoise m’a dit qu’elle regrettait notre liaison mais qu’elle préférait nettement faire l’amour avec André. Cela convient mieux à son tempérament. Moi j’aurais bien continué encore. Mais c’est mieux comme ça.
    
    Ils se serrèrent un peu plus fort encore l’un contre l’autre.
    
    — Il commence à faire froid lui dit-elle. Tu nous ramènes ?
    — Ok moi aussi je commence à ne plus avoir très chaud.
    
    Ils se levèrent et il lui mit sa veste sur les épaules. Il enfila son pantalon et sa chemise puis ils reprirent le chemin en ...
    ... direction de la voiture. Elle s’installa sur le siège sans remettre sa robe, Pierre lança le moteur, mit un peu de chauffage, et ils rentrèrent en ville.
    
    La maison de Pierre était une ancienne maison bourgeoise. Entourée d’un grand parc, elle ne se voyait pratiquement pas de la rue. Le portail s’ouvrit automatiquement, mu par des moteurs électriques télécommandés. Il se referma après le passage de la Safrane qui s’arrêta devant le perron. Pierre descendit, ouvrit la porte de Mireille et la prit dans ses bras pour lui faire monter les escaliers et entrer dans la maison. Ils passèrent une nuit réparatrice dans le grand lit de sa chambre. Dans sa torpeur, elle repensa à ce qu’il lui avait dit un jour alors qu’ils avaient fait l’amour dans une autre des chambres de la maison, et qu’elle lui avait demandé si c’était là qu’il dormait.
    
    — Non c’est une chambre d’ami. La mienne est à l’autre bout du couloir. Celle qui y dormira un jour sera ma femme. Personne d’autre n’y entrera.
    
    Elle ferma les yeux, soupira profondément, embrassa les lèvres de son amant, et lui susurra à l’oreille :
    
    — Toi aussi tu viens de me demander en mariage si je ne me trompe.
    — Ah bon ? dit-il en souriant doucement. Et tu réponds quoi ?
    — La même chose que toi. 
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