Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 19/08/2018,
Catégories:
fh,
frousses,
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amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
uro,
Auteur: Nicolas, Source: Revebebe
1
Ce matin-là, Pierre Sorem était en retard. Une masse de travail en attente s’accumulait sur son bureau, et il ne voyait pas très bien comment s’en tirer. Jusqu’à la semaine précédente, tout allait bien, et son agence immobilière fonctionnait au mieux. Dans cette petite ville du sud-ouest où il s’était installé il y a maintenant 10 ans, s’associant alors avec un vieil ami de ses parents qui cherchait à vendre son affaire, il avait su se faire aimer et apprécier de tous ou presque. Il avait consciencieusement appris les ficelles du métier auprès de son mentor, puis, lorsque celui-ci avait décidé de passer la main, Pierre avait repris et développé l’agence, en prenant bien soin de lui donner une taille suffisamment importante pour en vivre sans trop de contraintes financières, mais sans se tuer au travail pour autant. Il veillait jalousement à ce que cette affaire lui laisse suffisamment de temps libre pour se livrer à ses activités favorites : le rugby, la chasse, les femmes.
Jusqu’à la semaine dernière, tout allait bien. Seulement voilà : Josette, sa secrétaire assistante, standardiste, en un mot son bras droit, qui connaissait le fonctionnement de la maison aussi bien sinon mieux que lui, pour avoir servi du temps de son prédécesseur pendant plus de 15 ans, venait de le quitter. Malade, elle avait été hospitalisée pendant quelque temps puis trop fatiguée et trop près de la retraite, elle avait souhaité ne pas reprendre. Elle se rendait bien compte que cela le mettait ...
... dans une situation plus que difficile mais son cœur ne supportait plus l’activité soutenue qu’ils menaient pendant toute la semaine. D’un commun accord, ils s’étaient donc séparés, Josette avait promis de venir de temps en temps donner un coup de main en attendant la remplaçante, mais cela ne suffisait pas. Pierre ce matin-là avait le moral au trente-sixième dessous, il venait de se rendre compte que la partie de chasse de dimanche avec ses copains était fortement compromise. Il lui fallait trouver une solution rapide et surtout efficace.
Comme chaque jour, il s’arrêta au bar de la place, pas loin de son agence, où il avait coutume de boire un café et d’acheter la presse locale avant de rejoindre son bureau. Dans les journaux, il délaissait les pages politiques, se concentrant dans l’ordre sur la page rugby, puis sur les annonces immobilières, et enfin sur le carnet local. Pour lui décès signifiait souvent un ami ou une relation à qui il faudrait envoyer un message de réconfort, mais le carnet local, c’était aussi une source importante d’informations sur les prochaines affaires qu’il aurait peut être à traiter. Dans ces régions où la population n’est pas toujours de première jeunesse, une fois le propriétaire décédé, la famille cherchait souvent à vendre les propriétés qui ne pouvaient être partagées ou dont personne ne voulait car trop petites, trop loin de la mer ….
Café bu, journaux sous le bras il ouvrit son agence, et commença à étudier ses rubriques habituelles. ...