1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 19/08/2018, Catégories: fh, frousses, rousseurs, couplus, voisins, fépilée, campagne, magasin, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, uro, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe

    ... porte de l’agence. Grande fille rousse, bien découplée, elle respirait la santé. Dans ses yeux on voyait comme un voile de tristesse, et Pierre trouva que cela seyait bien au personnage.
    
    — Asseyez-vous lui dit-il en lui présentant un des deux fauteuils face à son bureau.
    
    La jeune femme s’assit, la jupe de son tailleur remonta quelque peu sur ses cuisses mais rien de provoquant ni d’indécent. Pierre remarqua la coupe du vêtement qui laissait supposer quelques moyens financiers. Vert bouteille, classique sans être strict, il était porté avec aisance sur un chemisier blanc, col ouvert, un foulard de la couleur du tailleur masquant le décolleté. La jupe droite arrivait au-dessus des genoux qui étaient serrés. Le sac à main parfaitement accordé reposait sur les cuisses.
    
    — Parler moi un peu de vous demanda Pierre.
    
    Elle se présenta, expliqua ses différents postes professionnels et les motifs qui l’avait amenée à changer : Son mari muté de Lyon, puis la mort de celui-ci avec ses parents et leur fils dans un accident de voiture alors qu’ils venaient la chercher à son travail avant de se rendre ensemble à un concert. Elle avait hérité d’une petite fortune qui pensait elle la dispenserait de travailler. Elle avait donc quitté son poste de secrétaire de direction et s’était installée dans la maison de ses parents. Pendant les deux ans qui suivirent, elle essaya d’oublier le drame en voyageant un peu, puis se lança dans des travaux d’aménagement et de décoration de cette ...
    ... maison. Maintenant, elle voulait reprendre un travail, non pas pour les revenus car elle pourrait s’en passer mais pour s’occuper un peu. Le temps commençait à faire son œuvre, sans qu’elle ait oublié quoi que ce soit, elle recommençait à vivre et avait peur que l’inaction la fasse replonger.
    
    Pierre se souvenait de cet accident qui avait décimé une famille bien connue dans la région. Les parents avaient été des commerçants prospères et respectés, le gendre était apprécié des employés de la conserverie qu’il dirigeait. Il ne connaissait personnellement aucun des membres de cette famille mais l’histoire l’avait ému sur le moment. Il expliqua son travail et ce qu’il attendait d’une future collaboratrice. Cela convenait à la jeune femme, d’autant plus que le salaire proposé était tout à fait correct. Il pouvait même s’y ajouter une commission si elle déclenchait une affaire qui se soldait par une vente. Au bout d’une heure, ils étaient tombés d’accord. Aline commencerait le mardi suivant, l’agence étant fermée le lundi.
    
    Il la raccompagna à la porte, et la suivit des yeux tandis qu’elle regagnait sa voiture. La Clio baccara noire de la jeune femme conforta Pierre dans l’idée qu’il se faisait d’elle, une jeune bourgeoise argentée, ayant de la classe, aimant et sachant vivre confortablement. La voiture démarra et sortit de la cour. Pierre allait rentrer lorsqu’il fut appelé par Mireille.
    
    — Tu as quelque chose de prévu pour le week-end ?
    — Non et toi ?
    — Rien. Calme plat en ce ...
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