1. Une petite Bastille ?


    Datte: 27/05/2022, Catégories: hh, inconnu, sport, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, facial, Oral gay Auteur: Pastabel, Source: Revebebe

    ... et là. Des gravats gisaient sur le sol. Aux murs, diverses inscriptions. « Monde de merde », « NO FUTURE », « BMT crew ». Je souriais en voyant : « la vie est trop courte pour s’épiler la chatte ». Puis Romain m’entraîna à l’étage, de l’autre côté du couloir. L’escalier avait l’air en bon état. Nouveau couloir, nouvelle salle. Cette fois, moins de fenêtres. Une lézarde à un coin de la pièce était un peu plus inquiétante que les autres. L’eau s’infiltrait manifestement et la rouille gagnait.
    
    — Alors, ils sont où les trucs marrants, là ? demandais-je avec insolence.
    — Partout, répondit-il avec un air énigmatique.
    
    Je regardais une fois de plus autour de moi, mais l’endroit me paraissait plus sinistre qu’au rez-de-chaussée et rien n’attira vraiment mon attention. C’est alors que je sentis sa main se poser sur ma hanche. Je baissais la tête pour contempler ses doigts délicatement appuyés sur mon tee-shirt en me retournant. J’étais hyper excité, mais je remarquai quand même combien ils étaient fins et longs. Je me retrouvai face à lui et en relevant la tête, je plantai mon regard dans le sien. Il avait des yeux bleus, c’était incroyable. Je ressentis un choc presque électrique quand nos torses se rencontrèrent. Ses deux mains m’empoignèrent en haut de mes fesses, juste sous les hanches et il me serra fermement contre lui. Je jouissais. De tout mon corps. Mes propres bras ne faisaient encore qu’effleurer son dos lorsqu’il approcha doucement ses lèvres des miennes et qu’il ...
    ... m’embrassa. Sa bouche ne fît que se poser très légèrement sur la mienne et ne bougea presque plus. Je ne le sentais que du bout de mes deux lèvres, mais ce fut le baiser le plus sensuel de ma vie. Enfin je crois… En tout cas, c’était vraisemblablement ce que se disait mon cerveau, car j’avais la trique à en avoir mal. Les yeux mi-clos, je me frottai délicatement contre lui et je sentis tout son corps à la surface du mien. Et surtout, je sentis sa bite juste au-dessus de la mienne. C’était si chaud !
    
    J’étais fou. Le monde n’existait plus autour de moi et j’aurais fait n’importe quoi à la seconde où il l’aurait exigé. Il avait pris ce petit air narquois des gens qui ont compris leur emprise et ça le rendait encore plus mignon. Je n’avais plus envie que de me soumettre à ses volontés. Ma journée lui était dédiée pour l’éternité.
    
    — Mets-toi à genoux, intima-t-il après m’avoir embrassé une fois de plus et passé généreusement ses mains sur mon dos et mes fesses.
    
    Sans rien dire, en le fixant toujours dans les yeux, la bouche entrouverte, hors d’haleine, je m’agenouillai lentement en laissant glisser mes mains le long de son corps. Elles vinrent saisir ses cuisses. Enfin saisir… C’était un bien grand mot ! Impossible de faire le tour de ces cuisses si musclées, si dures ! J’avais envie de lui au dernier degré. Je déposai fébrilement des petits bisous sur ses cuisses, affolé. J’en faisais le tour pour les caresser avec mes paumes. Je tressaillis en plaquant une main pour la ...
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