1. Une petite Bastille ?


    Datte: 27/05/2022, Catégories: hh, inconnu, sport, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, facial, Oral gay Auteur: Pastabel, Source: Revebebe

    ... première fois sur sa fesse droite. Mes bisous remontèrent le long de sa jambe et, enfin, je collai avidement ma bouche sur son sexe, tout le long de la grosse bosse qui déformait son legging. C’était trop bon.
    
    Pendant tout ce temps-là, il me laissait faire, les bras ballants le long du corps. Je voulais qu’il jouisse de me voir servilement me frotter contre son sexe. Qu’il voit à quel point je voulais me donner à lui de toutes les façons possibles. Il était dur, c’était ma plus grande fierté à ce moment-là. Je voulais que ça ne s’arrête jamais. C’est alors qu’il posa ses mains sur ma tête et qu’il appuya la bosse de son collant sur mon visage. Mon rêve se réalisait. Il appuyait très fort, il avait dû sentir que j’aimais ça. C’était en tout cas ce que j’imaginais. Je laissai s’échapper un gémissement. Il me relâcha et, inéluctablement, il baissa du même coup son legging et son caleçon. Sa queue jaillit alors devant mes yeux grands ouverts et goulus. J’approchai ma bouche et, comme lui plus tôt, je la caressai sur toute la longueur seulement du bout de mes lèvres. Je sentis ma lèvre supérieure s’humidifier lorsque je la passai sur le haut de son gland. Le petit goût salé se répandit sur ma langue alors que je me léchai les babines. Encore un gémissement, plus fort, mais étouffé.
    
    Sa bite était de taille moyenne, pas très veineuse, mais à cet instant, elle était tout pour moi. Son gland, rose et gonflé d’excitation émergeait largement de son prépuce. Elle était si chaude ...
    ... et si douce… Et ses couilles étaient plus grosses et semblaient plus lourdes que les miennes. C’est du moins ce qu’il me semblait, bien qu’elles fussent retenues par son legging qu’il n’avait baissé que précipitamment.
    
    Je jouais comme un forcené. J’empoignai sa bite et la décalottai doucement. Je n’osais pas serrer trop fort ni tirer sur sa peau pour découvrir son gland bien à fond, comme j’aimais pourtant le faire sur moi-même. J’avais peur de lui faire mal. Je le regardai encore une fois, il sembla apprécier mon enthousiasme. Son souffle était rauque, il avait manifestement hâte de passer aux choses sérieuses. Mais il me laissait malgré tout continuer mon petit jeu. Une fois complètement décalotté, je le fixai une fois de plus dans les yeux, j’ouvris grand la bouche et je pris mon air que j’espérai le plus innocent possible. Puis j’inclinai sa queue vers moi et je la fis entrer dans ma bouche, mais en faisant attention de ne surtout pas la toucher. Je le vis trembler légèrement, retenir son souffle puis, lorsque son gland toucha enfin mon palet, il gémit à son tour. J’étais content.
    
    Je refermai alors ma bouche autour de sa bite. Je l’enveloppai de ma langue et j’appréciais la situation. J’étais dans un bâtiment abandonné en train de sucer un presque inconnu. Quelle journée de folie ! Je me cambrai en me redressant en espérant faire ressortir mon petit cul. Je sentais mon propre legging bien tendu et priais pour que ça le rende complètement fou. Je sentis dans ma bouche ...
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