1. Aurore ou la voie de la soumission (1)


    Datte: 13/05/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Axelya, Source: Xstory

    ... était épicé, selon son expression, je devais me pencher sur le bureau, relever ma jupe et lui offrir mon cul. Il m’administrait alors une fessée, comme la première fois. Inutile de me leurrer, les coups ne faisaient qu’amplifier mon désir et ma jouissance. Quand il avait moins de temps, je devais me contenter d’une caresse voluptueuse qui m’incendiait tout entière. Parfois, il introduisait deux doigts dans mon vagin, jamais plus. « Tu restes étroite, c’est bien » disait-il.
    
    Il m’interdit de me masturber en dehors de nos séances. Puis, un jour, il me demanda de lui envoyer des photos intimes. Comme j’étais folle de lui, de ce qu’il me faisait, je cédai à ses exigences. Je me couchai sur le lit, les jambes grandes écartées en V, la chatte totalement exposée. Comme il me l’avait ordonné, je l’avais rasée entièrement. Je me mis à quatre pattes, les fesses écartées pour prendre d’autres photos. Il me tenait déjà entièrement en son pouvoir, à ce moment-là. Il aurait pu me dire d’aller coucher avec le premier venu ou de me promener totalement nue sur le Campus, je l’aurais fait.
    
    Mon Professeur prenait également un malin plaisir à me solliciter à toutes heures du jour et de la nuit. Il m’envoyait un message, par exemple, pour me dire de me rendre aux toilettes, au milieu d’un cours, et de revenir fesses nues. Un après-midi, il me rendit visite à l’improviste dans ma chambre et passa en revue ma penderie. Il confisqua mes pantalons et les vêtements qu’il ne trouvait pas assez ...
    ... sexy à son goût. Nous passâmes l’après-midi dans les magasins afin de renouveler ma garde-robe. J’eus l’occasion de constater qu’il avait un goût très sûr pour les chemisiers et, surtout, les sous-vêtements. Pour la première fois de ma vie, j’essayai des guêpières et des porte-jarretelles. Il m’acheta également des chaussures à talons hauts que je devrai porter tous les jours, « pour m’habituer ». Les autres étudiants, les garçons surtout, observèrent mon changement de look avec intérêt, mais je leur conservai mon dédain glacial.
    
    Je ressentis un appétit de plus en plus grand pour nos séances, d’autant qu’obéissante, je n’avais pas cédé à la tentation des plaisirs solitaires. J’attendais la prochaine visite avec une impatiente grandissante. Au bout de quelques semaines, je venais de répondre à une invitation SMS et m’apprêtai à retirer ma culotte dès mon arrivée dans le bureau quand Dacier me fit signe d’arrêter. « Je vais te remettre un papier. Tu as une journée et une nuit pour y réfléchir. Si tu le signes, nous pourrons continuer, si tu refuses, il faudra arrêter de nous voir » dit-il en me tendant un document. Puis il me congédia. J’allais ouvrir la bouche, lui demander ce qu’il avait voulu dire puis je me souvins que je n’avais pas le droit de parler sans y être invité. C’était comme si la terre s’était ouverte sous mes pieds.
    
    Sur le chemin du retour à ma petite chambre d’étudiante, je réalisai que, sans Luc, car oui, ironie du sort, mon Maître se prénomme Luc, le nom ...
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