1. Aurore ou la voie de la soumission (1)


    Datte: 13/05/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Axelya, Source: Xstory

    ... son index sur ma langue. Je le suçais en fermant les yeux. Le goût était fade, décevant, comme du blanc d’œuf.
    
    — Relève ta jupe que je te voie mieux, dit le Professeur. Bien. Ecarte les grandes lèvres, je veux voir le trou, la chair rouge.
    
    Il s’était baissé pour examiner mon sexe exposé.
    
    — Parfait. Une petite chatte rose et fraiche. Maintenant, retourne-toi, le ventre collé sur le bureau, les jambes de part et d’autre. Ecarte tes fesses avec les mains, montre-moi ton petit trou du cul.
    
    Cette fois encore, il explora un de mes orifices avec le doigt, mais je n’étais pas prête, il me fit mal, je gémis.
    
    — Je suppose que personne ne t’a sodomisée non plus ?
    
    Toujours la même réponse : non Monsieur. Jamais je n’aurais pensé qu’en entrant dans ce bureau, l’examen prendrait cette tournure inattendue. La question suivante me surprit encore plus :
    
    — Si je ne t’avais pas arrêtée, jeudi dernier, tu l’aurais sucé ce clochard crasseux ?
    
    — Je... je ne sais pas, Monsieur.
    
    — Moi je sais, petite salope. Car tu es une petite salope, non ?
    
    Je ne répondis pas. Je ne savais plus quoi faire.
    
    — Tu crois que je n’ai pas vu ton petit jeu au premier rang ? Tu n’as pas cessé de m’allumer. Tu te branles le soir, hein ? Ne dis pas le contraire. Tu as le feu entre les jambes. Tu imagines des hommes qui te souillent, qui te prennent de force et te frappent.
    
    Je restais muette, sidérée qu’il puisse si bien me connaître.
    
    — Ce qu’il faut aux filles dans ton genre, c’est une ...
    ... bonne correction.
    
    Il venait de défaire sa ceinture et je commençais à prendre vraiment peur, mais il ne me frappa pas avec la lanière de cuir, il se contenta de me lier les mains dans le dos. Je lui présentais toujours ma croupe offerte. Sa main s’abattit avec force sur mes fesses. Je criai de douleur et de surprise.
    
    — Silence ! dit-il. Petite traînée ! Tu n’as que ce que tu mérites.
    
    Il ramassa ma culotte et me la fourra dans la bouche.
    
    — On va éviter d’attirer l’attention.
    
    Il me frappa à plusieurs reprises, du plat de la main. La douleur se faisait à chaque fois plus cuisante et les larmes commençaient à me monter aux yeux. Enfin, il s’arrêta et pénétra de nouveau mon sexe avec les doigts.
    
    — Je m’en doutais. Tu mouilles encore plus que tout à l’heure, dit-il tout en me branlant vigoureusement.
    
    Il ne me fallut pas attendre bien longtemps avant que je ne me contracte en un spasme violent. Aussitôt, il défit la ceinture et retira la culotte de ma bouche.
    
    — Tu avais l’excuse d’être bâillonnée, mais la prochaine fois, tu me demanderas l’autorisation avant de jouir.
    
    — Bien, Monsieur.
    
    — Maintenant, va-t’en. Ne m’adresse plus la parole, je te recontacterai.
    
    Ce petit manège se répéta plusieurs fois. Le Professeur m’envoyait un SMS et à l’heure dite, je me présentais à son bureau. A chaque fois, il allumait le feu dans mon ventre. Je n’avais pas le droit de lui rendre la pareille, même pas le droit de le toucher ou de le regarder. Quand le rendez-vous ...
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