Aurore ou la voie de la soumission (1) - Histoires de Sexe

Aurore ou la voie de la soumission (1)

... cette jolie petite tête, reprit-il, une fois que je me fus assise. Dites-moi, avez-vous un petit ami que je puisse prévenir ?

— Non, répondis-je, surprise par la question, avant de me mordre les lèvres.

— Je ne peux pas vous laisser repartir tout de suite, le devoir pédagogique, vous savez... Nous allons avoir une petite conversation, une demi-heure par exemple, et ensuite je vous raccompagnerai jusqu’à votre chambre.

Je me sentais coupable de la situation délicate dans laquelle il m’avait trouvée, mais, plus encore, j’étais captivée par son charme et sa voix grave.

— Qu’en dites-vous ?

— Je suis d’accord.

Au début, il me posa quelques questions tout à fait anodines sur mon assiduité, si j’allais souvent à la bibliothèque, questions qui dérivèrent bientôt sur mon alimentation. Il me trouvait très maigre. Jolie, il insista sur ce point, mais juste avec la peau sur les os. Il me conseilla de m’inscrire à l’association sportive et de suivre un régime alimentaire plus riche. Le restaurant universitaire était loin d’être parfait, il en avait bien conscience. Avais-je assez d’argent, d’ailleurs, pour des collations supplémentaires ? Il existait des solutions, me dit-il en clignant de l’œil.

De retour dans ma chambre, cette nuit-là, j’eus le plus grand mal à m’endormir. Je repassais des centaines de fois la soirée dans ma tête. Le Professeur Dacier, pour sa part, avait obtenu ce qu’il désirait, mon numéro de mobile et la promesse d’un nouvel entretien.

La ...

... semaine suivante, il me convoqua à son bureau. Je m’habillais, pour l’occasion, d’une jupe courte et même très courte, les jambes nues avec des escarpins aux pieds, un chemisier trop petit, de lin blanc un peu transparent et tellement serré que l’on voyait la pointe de mes seins à travers. Tout le maigre attirail de séduction d’une jeune fille en chaleur. Sitôt que je fus entrée, il referma la porte à clé.

— Retire ta culotte ! Allez, obéis, plus vite que ça !

Mécaniquement, dans un état de honte indescriptible, je fis ce qu’il m’ordonnait.

— Appuie-toi sur le bureau et écarte les jambes.

Il passa la main sous ma jupe. D’un geste rapide, il glissa un doigt dans mon sexe. Ma chatte trempée ne lui offrit aucune résistance. Sous la rudesse de l’intrusion, une intense chaleur se propagea dans mon ventre.

— Tu es vierge n’est-ce pas ?

— Oui Monsieur.

— Très bien le monsieur, continue de l’employer, ce titre me plaît.

Tout en parlant, il caressa mon clitoris de son pouce. Ma respiration s’accéléra. Je n’avais jamais ressenti un plaisir aussi intense, même en me masturbant.

— Et tu as déjà sucé un garçon ?

— Non, Monsieur. Continuez, je vous en supplie, c’est tellement bon.

— Silence ! C’est moi qui pose les questions.

Je me contentai de gémir. Il retira ses doigts pour les pointer sous mon nez.

— Dis-moi belle, virginale, Aurore, et ta mouille, l’as-tu déjà goûtée ?

— Non, Monsieur.

— N’aie pas peur, vas-y.

J’ouvris la bouche et il posa ...