1. 0303 Sur les chapeaux de roues.


    Datte: 13/05/2022, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... moi. Et ça, c’est unique ! » je tente de le rassurer sur tous les tableaux.
    
    Ça semble marcher, car le beau brun me claque un long bisou en guise de réponse.
    
    « Et puis, c’est de toi dont j’ai envie. Tu peux pas savoir à quel point…
    
    — Ah oui ??? il fait, le coquin.
    
    — Si tu savais…
    
    — Je ne sais pas, il me cherche.
    
    — Tu veux que je te montre ?
    
    — Oui, ce serait bien d’être plus clair à ce sujet… » il lâche, la voix basse, sensuelle, tout en commençant de déboutonner lentement les boutons de sa chemise.
    
    Les deux pans de tissu bleu nuit se rouvrent peu à peu sur le paysage de coton immaculé. Il défait sa ceinture, sa braguette, dévoile un triangle de tissu du boxer, tendu par l’érection. Je suis fou de lui.
    
    Pendant que nos langues s’affrontent dans un duel des plus excitants, je laisse ma main droite glisser vers son entrejambe. Son érection est puissante, conquérante.
    
    Je soulève son t-shirt, j’embrasse langoureusement ses abdos, je suis happé par le bouquet olfactif tiède, viril et délicieux qui se dégage de sa peau mate et d’où j’arrive à distinguer la fragrance de son gel douche, de son parfum. Mais aussi et surtout, les petites odeurs naturelles de sa peau.
    
    Sa queue n’a pas encore été libérée de sa prison de coton, mais j’ai l’impression de sentir l’odeur de son érection s’échapper de son boxer. J'adore l'odeur entêtante de sa queue en pleine érection. J'adore le goût quand je la pompe. Et ce qui me fait carrément chavirer, c’est d’arriver ...
    ... parfois à l’exciter au point de faire suinter ce petit jus de mâle qui accompagne son excitation violente et ravit mes papilles.
    
    Et son souffle de pleine satisfaction à l’explosion de son orgasme, lorsque ses giclées puissantes et chaudes fusent dans ma bouche, ravit mon être tout entier. Qu’est-ce que j’aime lui faire plaisir !
    
    Nous allumons la télé, nous la regardons distraitement, en nous faisant des papouilles. Mon beau Jérém finit par tomber très vite dans les bras de Morphée. J’éteins la lumière et la télé, je me colle contre lui, et je m’assoupis aussi.
    
    Je me réveille dans la nuit, seul dans le lit. Mais où est donc passé Jérém ? Je le retrouve aussitôt, dans la pénombre, à proximité de la fenêtre, en train de fumer. Le t-shirt blanc tendu sur son torse capte et renvoie la faible luminosité de la pièce venant de la fenêtre entrebâillée. Une odeur intense de tarpé envahit la pièce.
    
    « Tu dors pas ? je le questionne
    
    — J’avais envie de fumer. Je t’ai réveillé ?
    
    — Oui, mais c’est pas grave.
    
    — J’ai fait du bruit ?
    
    — Je crois que c’est le fait de ne plus te sentir à côté de moi qui m’a réveillé… je dors tellement bien quand je suis avec toi ! »
    
    Le bobrun écrase son mégot, expire une dernière volute de fumée et referme la fenêtre. Puis, il ôte son t-shirt et vient me rejoindre au lit. Il se glisse sur moi, il m’embrasse sensuellement. Sa douceur me fait fondre. Le contact avec son corps me fait bander sur le champ. J’ai à nouveau envie de lui et je sais ...
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