Happy End
Datte: 10/05/2022,
Catégories:
fh,
extracon,
hotel,
amour,
fsoumise,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
caresses,
Oral
pénétratio,
extraconj,
Auteur: Volnay-a, Source: Revebebe
... la deuxième suite, elle se penche vers moi :
— Qu’est-ce qui te prend ? Tu es fou ?
— De toi encore et toujours ! glissé-je avec un demi-sourire
— Imbécile !
— Heureux ! et mon sourire s’accentue.
La fin des applaudissements met un terme à l’échange. Elle s’est écartée. Pendant le petit quart d’heure qui sépare le début du prélude de la fin de la sarabande, je reste parfaitement immobile. Cet apparent détachement cesse quand débute la bourrée. De nouveau je pose ma main sur son genou et sans lui laisser le temps de réagir, je la fais glisser sur sa cuisse. Elle l’immobilise, mais sa prise manque de conviction. D’un geste sec, je me libère et, très vite j’arrive là où, dix ans plus tôt, elle ne m’a jamais permis d’aller. Elle ne résiste plus, même elle écarte légèrement les cuisses. Malgré l’obstacle du collant, mes doigts dessinent les pleins et les déliés d’un sexe dont la moiteur trahit l’émotion. Ainsi que je me le suis promis, dans l’intervalle entre la bourrée et la gigue, je retire ma main. Elle murmure « reste » mais j’ignore sa demande et je me croise sagement les bras.
J-S Bach suite pour violoncelle numéro 4 en mi bémol majeur BWV 1010 – Courante
Troisième mouvement de la suite : courante. À la première note, quand je glisse la main entre la jupe et le corsage de Jeanne, je note avec satisfaction qu’elle creuse le ventre pour me faciliter les choses. Je trouve sans difficulté la fermeture éclair de sa jupe. Je l’ouvre puis je m’en vais vérifier ...
... l’exactitude des souvenirs que je garde de la fermeté de ses seins. La fin du mouvement me laisse tout juste assez de temps pour constater que ma mémoire est fidèle.
SJ-S Bach suite pour violoncelle numéro 5 en do mineur, BWV 1011 – Prélude
Pour l’avoir chronométré, je sais que le prélude de la suite qui commence durera largement plus que cinq minutes. Tout s’étant déroulé comme je l’avais rêvé, je n’hésite pas une seconde à glisser mes doigts dans une petite culotte dont l’élastique ne m’oppose aucune résistance. Je m’attarde quelques instants dans une toison dont j’apprécie l’exubérance et la souplesse et j’arrive à l’objet de mon désir. Mes doigts le caressent, le flattent, le pénètrent, en sortent puis y reviennent avec un entrain qui trouve sa récompense dans l’humidité chaude et tiède qui les baigne. Jeanne se laisse aller avec de plus en plus d’abandon et quand, à la fin du mouvement, je me retire, elle ne peut retenir un petit soupir de dépit.
J-S Bach suite pour violoncelle numéro 6 en ré majeur, BWV 1012 – Allemande
L’allemande de la sixième suite est, de loin, le plus long mouvement des œuvres du concert de ce soir. Raison pour laquelle je l’ai choisie comme fond sonore du dernier acte de mon défi. Dès la fin du prélude, je saisis le poignet de Jeanne et j’amène sa main sur ma virilité. Les épisodes précédents et ce que je me promets de la suite de la soirée font que, comme l’écrivaient les libertins du XVIIIe siècle, l’objet est en très bel état. Jeanne le ...