1. Happy End


    Datte: 10/05/2022, Catégories: fh, extracon, hotel, amour, fsoumise, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, caresses, Oral pénétratio, extraconj, Auteur: Volnay-a, Source: Revebebe

    ... mouvement où je l’avais arrêté et je m’en vais m’abreuver à la source des délices. Elle coule déjà. Je fais de mon mieux pour en renforcer l’abondance et une série de spasmes accompagnés d’un Ouiiiii étouffé m’avertit bientôt que je n’ai pas été trop maladroit.
    
    Après un rapide et léger baiser sur la fleur de son secret (merci Almodovar) je reprends ma place aux côtés de Jeanne.
    
    Elle appuie sa joue contre mon épaule et saisit délicatement un organe qui ne demandait que ça. Tout en le caressant avec une science de la retenue et de la légèreté dont j’apprécie la maîtrise, elle murmure « Monsieur le loup que vous avez une grosse queue ! » Je connais mon Perrault et je réponds « C’est pour mieux te fourrer mon enfant ! » et j’ajoute « Au fait que penses-tu de celles des loups de la chambre à côté ? » « J’aime mieux la tienne et de toute façon, vu ce qui se passe on a du mal à juger ! » Il est vrai que le méli-mélo des corps qui s’agitent en face de nous, ne permet pas une observation précise des particularités anatomiques des participants. Pour le moment, autant qu’on puisse en juger, la première occupante des lieux est doublement honorée par son compagnon et le porteur de masque. L’un côté face, l’autre côté pile tous deux s’activent en mesure pour, apparemment, le plus grand plaisir de leur partenaire.
    
    À côté d’eux, la femme masquée entretien son émotion à l’aide d’un de ces objets que le snobisme anglicisant nomme des sex-toys comme si les mots godemichet et olisbos ...
    ... n’existaient pas (ce petit accès de chauvinisme linguistique a l’avantage de détourner mes pensées des actions en cours et par conséquent de faire durer le plaisir »). À ce moment Jeanne me lâche, mais c’est pour mieux me reprendre. Elle se met de dos, m’enjambe et tout en continuant de s’intéresser aux performances du quatuor, elle s’empale sur ce qu’elle caressait. Initiative des plus heureuses. En effet, appuyée contre moi comme sur un oreiller, elle laisse libres mes mains. Celles-ci trouvent sans peine à s’occuper. Pendant que l’une joue sur ses tétons, l’autre accompagne les mouvements de l’engin qui s’est planté en elle et qui s’y trouve bien. Le résultat ne se fait pas attendre. Jeanne jouit une seconde fois en remplaçant le Oui de tout à l’heure par un rugissement pour lequel il n’existe pas de traduction à l’écrit. Fort heureusement, comme me l’a dit Happy End, notre chambre étant parfaitement insonorisée, cette manifestation ne peut pas troubler nos voisins. De toute façon, au point où ils en sont, il est peu probable que quoi que ce soit puisse les détourner de leurs occupations.
    
    Pendant qu’allongée contre moi, Jeanne reprend ses esprits, j’admire l’inventivité dont ils font preuve. C’est maintenant la femme masquée qui est au centre de l’action. Contrairement à ce que je croyais, nous n’assistons pas la simple reproduction de la scène précédente. Pour commencer, elle s’assoit sur son compagnon qui en profite pour ficher son membre viril (cette expression est un ...
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