1. Dans l'espace, personne ne vous entend jouir


    Datte: 09/05/2022, Catégories: f, fh, ff, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme sf, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... qu’à me tirer une balle dans la tête pour éviter une mort particulièrement atroce. Peut-être que je n’aurai même pas le temps de le faire. Ça se rapproche. La masse immonde me donne envie de vomir. Helen a également perçu le danger. Elle se jette sur son arme. Hans s’est retiré après avoir éjaculé une dernière fois. Il en arrive de partout à la fois. Lesfacehuggers nous tournent autour. Nous en détruisons des dizaines et des dizaines, qui crèvent sous nos balles en faisant un bruit humide particulièrement écœurant, comme un gros insecte que l’on écrabouille sous sa semelle. Il faut prendre garde aux projections d’acides, qui nous troueraient facilement la peau.
    
    L’une de ces bestioles parvient à se jeter entre les jambes d’Helen. Il est si rapide que je pousse un cri de surprise. Trop tard pour tirer : ma balle atteindrait ma coéquipière. Cependant, lefacehugger ne se fixe pas sur son visage, mais sur sa vulve. Helen se roule au sol. Si elle souffre trop, il est de mon devoir de l’achever. J’en ai fait le serment. Mais je me rends compte qu’en réalité, elle jouit d’une manière incroyablement intense. La créature a dû insérer son appendice dans le vagin ! Elle s’immobilise sur le dos, les yeux écarquillés, un immense sourire sur le visage. Les autres bestioles s’éloignent : il leur suffisait d’une seule proie, apparemment. Elles doivent me réserver aux aliens adultes, qui veulent leur part de festin.
    
    Hans regarde la scène, sans intervenir, ni même se montrer étonné. ...
    ... Peut-être savait-il déjà ce qui est en train de se tramer. On dirait même que l’infortune d’Helen le fait bander, le salaud. Helen pleure. Elle murmure :
    
    — C’est merveilleux ! Jamais je n’ai éprouvé autant de plaisir !
    
    Elle sait pourtant que lefacehugger, qu’il faudrait renommervaginahugger, est en train de l’inséminer avec unchestbuster qui, lorsqu’il sera arrivé à maturité, sortira de son corps par le chemin le plus direct et pas par les voies naturelles.
    
    Pendant ce temps, les xénomorphes sont arrivés derrière la porte métallique que nous avons soudée. Venus en nombre, commandés par leur reine, ils grattent, cognent, s’impatient. Ils ne devraient pas en avoir pour plus de quelques minutes avant de venir à bout de cet obstacle.
    
    — Viens, chuchote Helen !
    
    Je m’allonge tout près d’elle.
    
    — Caresse-moi les seins, s’il te plaît. N’aie pas peur.
    
    Oh, oui ! Elle est couchée sur le dos. Ses yeux brillent comme jamais, elle peine à s’exprimer et se débat dans d’impressionnantes convulsions, les seins gonflés et durcis, les tétons dilatés et les aréoles brunies par l’excitation sexuelle. Je prends ce qu’elle m’offre à pleines mains. Merveilleux cadeaux. Ses yeux roulent, ses jambes tremblent. Puis elle entre dans une fantastique transe érotique, la tête basculée en arrière, cambrée sur ses talons, les bras en croix. Je colle mes lèvres sur les siennes, puisqu’elle m’y invite. La porte commence à se déchirer dans un bruit d’enfer. Nous n’en avons plus que pour deux ou ...
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