Retour en Tunisie (2) - Histoires de Sexe

Retour en Tunisie (2)

... tu feras en sorte que ta collègue ne sorte plus du rang... C’est compris ?

— Ouuui aaah Madame, répond-elle des trémolos dans la voix.

— Allez viens m’embrasser, tu es pardonnée ma belle.

Après cet intermède, elle demande à Sana d’aller lui chercher le paddle et de lui rapporter immédiatement dans la chambre.

Ophélie est toujours à la même place quand Inès franchit la porte.

— A ton tour maintenant, déshabille-toi et tu appuies tes bras sur le bureau... Oui comme cela... Pose tes seins sur la table, n’hésite pas... Les jambes tendues aussi... comme cela, tu as les fesses bien écartées, je veux pouvoir admirer ton cul changer de couleur, continue-t-elle avec sadisme.

Tu peux te tortiller, crier, pleurer, par contre si tu te relèves ou tu bouges de place, ce ne sera pas une semaine que tu passeras attachée sur ton lit, mais quinze jours. Deux longues semaines à porter une couche que Sana ne changera qu’une fois par jour... Tu m’as bien comprise ou il faut que je me répète, lui dit-elle à l’oreille.

— Oui, lui répond timidement Ophélie.

— Oui comment ?

— Oui Madame, j’ai bien compris.

— et sans prévenir chlac !

— arghl !

— Ça c’était la première et il y en a encore 29 à suivre. Pense à souffler régulièrement, cela t’aidera ironise Ines, car comme tu l’as senti, je vais te donner 30 coups avec un paddle, je ne voudrais pas avoir mal aux mains une fois cette fessée finie... héhé !

— chlac !... chlac !

— aie ! ....... aie !

— Tu n’as ...

... pas encore saisi que tout le temps que je passe avec toi c’est pour ton bien, pour que tu te connaisses mieux... Mais pour cela, tu dois m’obéir sans discuter... tu as bien compris ?

— Oui Madame.

— chlac !... chlac !

— aie ! ....... aie !

Aussi incroyable que cela puisse paraitre, les coups de paddle administrés sur ses fesses lui font mal, mais au-delà, Ophélie ressent avec effroi une chaleur sourde lui remonter du bas-ventre, elle a même l’impression que ces petites lèvres deviennent humides.

— chlac !... chlac !

— aaaiiiee ! pfou !... aaaiiiee ! pfou !...

Les cris s’accompagnent dorénavant de soupirs. Ines a un doute. Elle se penche pour voir la figure d’Ophélie et ce qu’elle découvre la ferait presque rire. Sur le visage de sa protégée, elle voit les stigmates d’un plaisir naissant puis quand elle lui relève le menton, plus aucun doute n’est permis:

— Tu es une belle petite salope... se moque-t-elle. Tu aimes ça, hein ?Réponds ! hurle-t-elle.

— Oui... Madame, murmure Ophélie, plongée dans un abime de honte.

— Appuie bien le ventre sur la table et écarte les cuisses espèce de garce !

Ophélie lui obéit immédiatement et lorsqu’Inès lui pose la main sur sa vulve, celle-ci s’aperçoit qu’elle est trempée, qui plus est-elle brulante de désir.

— Aaaaaaaaaaaah gémit Ophélie.

Elle avait remarqué que la Française appréciait la fessée soft, mais là, elle réalise qu’elle pourra encore plus rapidement lui faire franchir d’autres étapes, elle allait ...