Retour en Tunisie (2) - Histoires de Sexe

Retour en Tunisie (2)

... goûter à la cravache plus vite que prévu, elle se promet de la faire crier avant de lui octroyer un orgasme... Mais pour l’instant, il est hors de question qu’Ophélie jouisse. Elle décide donc de jouer avec sa soumise. Elle la doigte vigoureusement puis lorsqu’elle devine l’orgasme prêt à exploser, elle sort de l’antre, trempée, et reprend son paddle. Ophélie râle.

— Tu voudrais que je te fasse jouir ma belle salope.

— ......

— Lâche-toi ma belle... Allez, dis-le, insiste la Tunisienne d’une voix mielleuse en rentrant lentement deux doigts dans l’antre bouillant.

Ophélie ne comprend pas d’où lui vient ce plaisir qu’elle ressent, est-ce la douleur qui booste sa libido, est-ce le fait d’être durement dominée, d’être punie, elle ne connaît pas la raison, mais le fait est là et malgré toute sa volonté à refuser ce plaisir abject, elle ne peut rien contrôler, plus rien ne compte, même la honte ou l’humiliation n’arrivent pas à la raisonner, il faut qu’elle évacue la boule qui lui remonte de ces entrailles, elle doit jouir absolument.

Elle déteste Inès pour ce qu’elle arrive à lui faire faire, cette femme est le diable. Elle sait mieux que quiconque ce dont elle a besoin, ses envies refoulées, ses désirs malsains enfouis au plus profond d’elle, sa perversité cachée. En même temps, elle la respecte pour l’intensité du plaisir qu’elle arrive à lui soutirer.

— Ooooooooooh oui.

— Oui quoi ?

— Oui Madame, faites-moi jouir.

— Je vais te faire jouir, ça tu ...

... peux y compter, lui dit Ines en activant légèrement ses deux doigts, tu vas même gueuler à t’en rompre les cordes vocales, continue-t-elle... Mais patience.

Sur ces derniers mots, la Tunisienne retire sa main, essuie ses doigts poisseux sur la raie, le petit trou palpite sous la caresse, lui rappelant qu’il va bientôt être sérieusement temps de s’occuper de cet endroit, puis reprend le paddle et l’abat deux fois coup sur coup.

— humpf ! chlac !... humpf ! chlac !

— aaaiiiee ! snif !... aaaiiiee ! snif !...

Inès n’y va pas de main morte et là, Ophélie crie beaucoup plus fort, la douleur lui provoque aussi des larmes.

— Maintenant, petite garce, tu vas comprendre que tu es punie ! Crois-moi, tu vas regretter de te laisser aller à ton plaisir.

Inès continue à frapper avec force et détermination. Sa palette percute la fesse gauche et la droite alternativement, provoquant une douleur intense.

— humpf ! chlac !... humpf ! chlac !

— aaaiiiee ! snif !... aaaiiiee ! snif !

Ophélie ne sait plus comment faire pour esquiver. Les larmes coulent à gros bouillon, mais Ines continue à la frapper, totalement fermée à toute mansuétude.

— humpf ! chlac !... humpf ! chlac !

— aaaiiiee ! snif !... aaaiiiee ! snif !

Voyant que le cul est écarlate, Inès décide de s’arrêter, or avant, elle lui assène deux dernières frappes magistrales sur une région qu’elle gardait pour la fin, un endroit sensible, les cuisses. Les coups sont vicieux et rapides. Ophélie se cabre en ...