Retour en Tunisie (2) - Histoires de Sexe

Retour en Tunisie (2)

Retour en Tunisie

Prise en main

Ines comme à son habitude n’a rien laissé au hasard. Elle a minutieusement préparé le programme d’Ophélie et elle en a confié l’exécution à Sana. Elle trouve l’idée intéressante à plusieurs titres ; elle sait que sa soumise respectera les consignes et fera tout pour qu’Ophélie se conforme aux exigences de sa maîtresse, elle pense que la Française se conformera plus facilement à ses volontés, en étant dirigée par Sana, et de plus, elle les rend solidaires l’une envers l’autre.

Il est sept heures ce matin quand Ines ouvre la porte de chambre des filles.

— Alors bien dormi... il est temps de se lever !

Elle rappelle alors les règles, elle informe Ophélie que Sana sera sa tutrice, mais aussi qu’elles seront punies toutes les deux sans distinction si le timing n’est pas respecté, en bref, tout écart au programme n’est pas envisageable, et elle laisse carte blanche à Sana pour qu’Ophélie apprenne à se laisser aller.

En voyant Sana blêmir à l’évocation d’une punition commune, Inès se doute que sa soumise fera en sorte qu’Ophélie s’applique, car connaissant l’intransigeance de sa maîtresse, elle a la main lourde, même très lourde et quelquefois si elle est en colère, alors là il ne faut pas s’attendre à de la clémence. Sana sera prompte à faire obéir Ophélie, elle en est certaine,

Ines est sûre que le message passera bien avec Sana comme interlocutrice. Elle s’attendait tout de même à utiliser sa cravache ou le paddle, elle ...

... trouverait une imperfection dans l’attitude d’Ophélie et ainsi, elle pourrait à la fois lui montrer ce que l’on risque en cas de désobéissance et de la même façon, cela lui permettrait de donner une piqure de rappel à Sana. Elle n’avait pas eu le loisir de la prendre à défaut depuis au moins trois mois et cela lui manquait...

— Allez ... A la douche, moi je vais prendre mon petit-déjeuner, je vous verrais ce midi.

Dans la chambre de Sana, il n’y avait qu’un grand lit, aussi les deux soumises avaient dormi côte à côte. La seule différence entre les deux filles était qu’Ophélie ne pouvait pas descendre du lit sans l’intervention de sa compagne, la laisse de son collier était cadenassée à la tête du lit. Aussi, descendue de sa couche, Sana fit le tour pour détacher Ophélie et lui cadenasser la menotte de cuir de son poignet droit sur la ceinture, nouvel équipement qui lui enserrait la taille, la fixant à hauteur de la hanche droite. Elle réitéra ensuite la même manœuvre pour la main gauche l’accrochant parallèlement à son corps.

— Viens avec moi, lui dit Sana en attrapant la laisse pour qu’elle la suive.

Arrivée dans une grande pièce carrelée, Ophélie observe, étonnée, cette salle qui dispose en son centre un très large pommeau de douche. Autour différents matériels dont elle ne reconnait pas la fonction immédiatement avec de plus une table de massage, un tapis de course, un vélo, et aussi ce qui lui fait froid dans le dos, des anneaux avec mousquetons accrochés au mur et ...