Retour en Tunisie (2)
Datte: 26/04/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: dominic47, Source: Xstory
... fesses d’Ophélie.
— Ouche !
Ines ne s’arrête évidemment pas au petit cri, comme un métronome, elle abat le martinet sur le cul de sa soumise, alternant plusieurs coups secs avec une caresse. Elle n’arrête ses sévices qu’au bout de dix longues minutes, en voyant que sa soumise commence à partir, elle laisse tomber le martinet, se repositionne derrière Ophélie et la réinvestit sauvagement. Ophélie a le sexe en fusion, c’est les chutes du Niagara, le priape rentre sans effort et il ne faut que quelques aller-retour vigoureux pour qu’elle s’effondre tétanisée par l’orgasme.
Et puis un matin, elle refuse de se lever. Elle ne sait pas pourquoi elle s’entête devant Sana dans cette bravade qui elle le sait, ne peut que lui octroyer des représailles. En fait depuis quelques jours, ce n’est pas Inès qui vient le soir pour la faire jouir, mais c’est à Sana qu’il incombe de la prendre. Son corps est repu après ces séances quotidiennes, cependant, il lui manque la fougue et certainement aussi le fouet, même si elle se refuse à l’admettre, en tout cas, son esprit n’arrive pas à se satisfaire d’une doublure. Si elle ne parvient pas à mettre une raison à cet état, son subconscient lui se révolte.
Ophélie n’avait aucune idée du déroulement de son séjour avant de partir, mais elle faisait aveuglément confiance à sa Chérie.
Arrivée chez Ines, elle avait été profondément déstabilisée par l’aller-retour magistral que la Tunisienne lui avait administré. Démunie, en colère aussi ...
... dans un premier temps, elle avait néanmoins obéi comme une petite fille prise en défaut qui trouve normal que sa mère lui rappelle les limites. Immédiatement, la référence à sa génitrice fut une évidence, et bien sûr, une mère, on la respecte qu’elle soit autoritaire ou non. Elle agit pour votre bien.
C’était d’ailleurs bizarre, la gifle reçue avait déclenché simultanément un flash de la maman aimée et crainte.
Ayant perdu sa mère à l’âge de huit ans, elle n’avait que de vagues souvenirs de cette période. On lui avait seulement dit que sa maman avait beaucoup de difficultés avec elle, très turbulente, elle ne faisait que bêtise sur bêtise et Marie Chantal devait souvent la punir, allant même jusqu’à la fesser copieusement pour la calmer. Inconsciemment, elle avait fait un transfert et c’est donc avec un mélange d’amour et de crainte qu’elle abordait maintenant son séjour chez Ines. Son esprit perturbé était à la recherche d’une autorité qui la canalise, d’un amour qui la rassure et cela quel que soit sa forme, elle était rassurée de ne plus être seule, on s’occupait d’elle. Par ailleurs, sa psyché développait parallèlement une dépendance, l’obéissance lui permettait d’être plus sereine, la soumission la dégageait de toute responsabilité.
Aussi ce matin quand elle voit Inès au bord de la chambre, son regard sombre, elle se doute que ce n’est pas pour la féliciter.
Ines savait qu’Ophélie ne l’appréciait pas spécialement, mais ce n’est pas son but, et sa désobéissance ...