Retour en Tunisie (2) - Histoires de Sexe

Retour en Tunisie (2)

... l’incendiant copieusement. Or voilà, aujourd’hui elle est effarée, mais ne se rebelle pas, au contraire elle se met docilement en position, attendant que le mal la couvre.

Pendant ce temps, la grande brune explique brièvement à Ophélie comment elle voit les choses. Elle lui signifie que son corps ne lui appartient plus. Elle doit se soumettre à toutes ses exigences, même si elle appréhende la honte, la douleur, la perte de dignité, son unique but est de la satisfaire, car si elle y arrive, elle pourra d’autant mieux combler la libido de sa chérie tout en espérant peut-être bénéficier de retours passionnés de celle-ci. Mais avant cela, elle doit apprendre, être dressée si besoin, s’oublier pour ne penser qu’au plaisir de sa maîtresse, elle doit s’abandonner totalement.

— Tu n’as plus à décider de quoi que ce soit, rajoute Ines, je t’enlève ce fardeau. Ton rôle et je suis là pour te l’apprendre est d’être à l’écoute et d’obéir sans aucune objection. Tu seras heureuse de me satisfaire, l’obéissance sera pour toi une deuxième nature, ne plus décider de tes actions te rendra sereine, tu seras en définitive libre... Libre de ne plus penser à toi, mais au plaisir toujours grandissant que tu offriras plus tard à Christine.

Et puis quand je jugerai que tu es mure, tu rejoindras ta chérie pour vivre votre idylle. Pour l’instant, je te forme, renchérit-elle en attrapant à deux mains les hanches d’Ophélie.

Affublé du membre factice, Inès positionne le gland à l’orée des ...

... petites lèvres, l’immisce doucement dans l’ouverture puis sentant l’antre accueillant, elle s’enfonce d’un seul coup jusqu’à la garde. Ophélie pousse alors un cri sous la rudesse de l’envahisseur, mais elle s’habitue vite et prend à sa surprise beaucoup de plaisirs sous les va-et-vient rythmés de la Tunisienne.

Les jours se suivent avec si ce n’est de la joie, une sorte d’accoutumance qui rend plus facile la perte de liberté. De plus, elle n’est plus entravée et chaque soir, Inès est au rendez-vous. Elle la fait jouir et toutes ses maux, ses questions, ses incertitudes, ses peurs sont oubliés pour s’endormir comme un bébé. Elle découvre même avec honte au début qu’elle atteint des sommets dans l’extase lorsqu’Inès la malmène. En effet, la Tunisienne se contente dans un premier temps de lui donner quelques calottes sur les fesses alors qu’elle la pourfend avec la bite factice, puis de soir en soir, voyant sa soumise réceptive, demandeuse, le nombre et l’intensité des claques redoublent sous les invectives salaces. " Tu es une belle petite salope sous tes airs de sainte, tu aimes la bite... Tu adores que je te claque le cul ma belle garce..."

Et puis il y a cinq jours, Inès décide de passer à l’étape supérieure. Au milieu de la séance de baise, Ophélie en sueur avec les fesses rougies, la Tunisienne se retire sous un râle de frustration.

Ne t’inquiète pas ma salope, tu vas jouir comme une folle, lui dit alors la grande brune en abattant les lanières du martinet sur les ...